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Gauche ouvrière et chrétienne
24 décembre 2007

La dimension religieuse de la fête de Noël s'estompe

Le problème que nous avons en France c'est que les chrétiens en général,mais les catholiques en particulier ,qu'ils soient de droite ou de gauche, ont peur de montrer qu'ils sont catholiques,ils se cachent presque;être catholique ,protestant,musulman n'est pas une tare ;il n'y a pas de honte à dire ce que l'on est ,n'y de pratiquer au plein jour.

alors,que dans un pays comme l'Allemagne,que certains politiques prennent souvent pour exemple ,non pas peur de monter qu'ils sont chrétiens,qu'ils sont catholiques et ce n'est pas pour autant que la laïcité n'existe pas.(en Allemagne,il y a autant de catholiques que de protestants).

Ce n'est pas parce que l'on rappelle que la chrétienté est le ciment ,le pivot de la France(du moins a été) que l'on met la laïcité en danger bien au contraire.

Les chrétiens ,les catholiques de France qu'ils soient de droite ou de gauche ne doivent plus se cacher,ils doivent se montrer comme le font ceux des autres religions.

M. Savary et la gauche devraient se rappeler que la majorité des catholiques,même ceux qui sont de gauche,ont dans leur grande majorité fiat confiance à Sarkosy,et pourtant la GAUCHE OUVRIÈRE ET CHRÉTIENNE avait tiré le signal d'alarme.

Il y a des socialistes,des communistes,entre autre,qui sont catholiques et qui pratiquants mais ils ont peur de le dire et de le montrer,cela est un tord ne serait ce pour la démocratie et bine sur pour eux mêmes

Le Président de la  G.O.C.

lundi 24 décembre 2007
La crèche vivante de Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche) rappelle que Noël est d'abord une fête chrétienne. : Marc Ollivier

Noël est une fête chrétienne. Elle célèbre, pour les chrétiens, la naissance de Jésus, «reconnu dans la foi comme fils de Dieu, le sauveur (Messie) annoncé par les prophètes », souligne l'Église catholique en ce Noël 2007. C'est le mystère de l'Incarnation, autrement dit du Dieu fait homme. « En Jésus-Christ, se trouvent unis la nature humaine et la nature divine ». Le mot Noël vient du latin natalis, qui veut dire « naissance », « nativité ». Le choix du 25 décembre est à mettre en lien avec le solstice d'hiver, moment où le jour prend peu à peu le pas sur l'obscurité. « Les circonstances de la naissance de Jésus dans une étable, souligne aussi l'Église catholique, mettent en valeur sa proximité particulière avec les plus pauvres et les exclus, ceux qui se sentent isolés et oubliés ».

La perte du sens religieux de la fête. Elle est révélée par un sondage TNS Sofres publié dans Pèlerin. Seulement 27% des Français ont le sentiment de vivre la dimension religieuse de Noël. En 1999, à la même question, 45% des Français affirmaient vivre cette dimension religieuse. Ils sont 53% à la considérer d'abord comme une fête de famille et 29% comme une fête pour les enfants. Le sapin vient, pour les Français, en tête des symboles de Noël (81%) devant la décoration de la maison (64%) et la crèche (51%).

Une connaissance approximative de Jésus. Selon un sondage de CSA-La Vie, 52% des Français situent l'année de naissance de Jésus (il y a environ 2000 ans) et 45% donnent Bethléem comme son lieu de naissance (32% pour Nazareth). Mais 51% doutent de leurs connaissances sur Jésus. A la question « Pensez-vous qu'il soit important que les enfants aient des connaissances sur Jésus ? », 7 Français sur 10 répondent oui. 32% des sans-religions partagent même cette idée.

Pierre TANGUY.

La bénédiction de Noël de Benoît XVI, « urbi et orbi » (à Rome et au Monde) sera retransmise en direct, mardi 25 décembre, à midi, sur France 2.

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