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Gauche ouvrière et chrétienne
27 juillet 2006

REVOILA CLEARSTREAM

COMME PAR HAZARD,A QUELQUES DES PRESIDENTIELLES REVOILA L'AFFAIRE CLEARSTREAM.

MAIS,CE QUI EST ENCORE LE PLUS EXTRAORDINAIRE C'EST QUE LE GENERAL RONDOT QUI AVAIT REFUSE DE REPONDRE AUX DIFFERENTES CONVOCATIONS DES JUGES SUR CETTE AFFAIRE  ECRIT UNE LETTRE PAR L'INTERMEDIAIRE DES JOURNAUX POUR  ESSAYER,UNE NOUVELLE FOIS DE DEDOUARNER DE VILLEPIN ET SARKOSY.

DANS CETTE LETTRE ,IL CONTREDIT TOUT CE QU'IL AVAIT DIS ET ECRIT AU PARAVENT.

IL EST VRAI,QUIL AGIT EN BON SOLDAT QUI DOIT OBEIR AUX ORDRES.

MAINTENANT IL EST SUR ,AVANT IL ETAIT SUR DU CONTRAIRE,QUE LE NOM DE SARKOSY N'APPARAIT PAS SUR LES DOCUMENTS QUI ONT ETE SAISI CHEZ CE GENERAL.

EN VOULANT DEDOUANER DE VILLEPIN ET SARKOSY SUR CLEARSTREAM ,RONDOT ESPERE T IL N'ETRE PAS CONDAMNE PAR LA BRIGADE FINANCIERE?

EN TOUS LES CAS,SI DE VILLEPIN ET SARKOSY n4ETAIENT PLUS CITES DANS CETTE AFFAIRE CELA CONFIRMERAIT QUE LES JUGES SONT "BAILLONNES" PAR LE GOUVERNEMENT ET QU'ILS MONTRENT QU'ILS DICTENT A LA JUSTICE CE QU'ELLE DOIT FAIRE ET QU'ELLE DEPEND BIEN DE L'ETAT ET N'EST PLUS INDEPENDANTE DEPUIS 2002.

CELA PROUVE AUSSI QUE DANS CETTE AFFAIRE S'IL Y AVAIT DES CONDAMNATIONS CE NE SERAIT QUE DES LAMPISTES QUI PAYERAIENT ET LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES POURRAIENT DORMIR TRANQILLEMENT APRES LES AFFAIRES DE LA MAIRIE DE PARIS CE NE SERAIT QUE LA TROISIEMME FOIS OU LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES SERAIENT EPARGNE ET RESTERAIENT A LA TETE DE L'ETAT ET DU GOUVERNEMENT ET FERAIENT DE LA MORAL AUX CITOYENS FRANCAIS:SCANDALEUX

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.



CLEARSTREAM

Philippe Rondot dédouane
Dominique de Villepin


NOUVELOBS.COM | 27.07.06 | 09:53

Le général a adressé une lettre aux magistrats chargés de l'enquête pour éclaircir les rôles de chacun.

 

 

L e général Philippe Rondot a adressé une lettre aux magistrats chargés du dossier Clearstream afin d'éclaircir le rôle des politiques, et plus particulièrement ceux du Premier ministre, Dominique de Villepin, qu'il dédouane de toute manipulation, et du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, dont il affirme qu'il était au courant de toute l'affaire. L'Est Républicain publie de larges extraits de cette lettre dans son édition de jeudi 27 juillet.
L'ancien militaire et spécialiste français du renseignement n'avait pas répondu le 22 mai dernier aux questions de juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons qui lui avaient refusé le statut de témoin assisté. Dans sa lettre, il affirme que personne ne (lui) a "jamais demandé de cibler Nicolas Sarkozy ou d'autres, ni de nommer ou de laisser se faire un montage visant des personnalités".

Rondot réfute la thèse de manœuvre contre Sarkozy

"Je suis, aujourd'hui, sûr que le patronyme de M. Nicolas Sarkozy ne figurait pas sur les documents reçus contrairement à ce que j'ai pu déclarer dans ma déposition du 28 mars 2006", ajoute le militaire.


"Tout soupçon de manœuvre à l'égard de Nicolas Sarkozy, qui avait fait des déclarations publiques à ce sujet, était manifestement infondé", note-t-il.
"J'ai bien essayé de faire passer un message à M. Nicolas Sarkozy, M. Philippe Marland (directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, NDLR) en ayant été averti, a laissé sans suite".
"J'ajoute que Dominique de Villepin souhaitait éviter toutes rivalités de service et toute fuite". "Quand, à l'automne 2004, les doutes se sont confirmés, nous avons ensemble mesuré les risques médiatiques que pouvait engendrer une telle affaire, ce qui ressort de mes échanges avec M. Dominique de Villepin, Michèle Alliot-Marie et Philippe Marland (directeur de cabinet du ministre de la Défense, NDLR)".

Lahoud, "profil complexe"

Revenant sur sa relation avec l'informaticien Imad Lahoud, soupçonné d'avoir introduit de faux noms dans les listings Clearstream, Philippe Rondot précise dans sa lettre: "C'est donc en janvier 2003 que j'ai fait la connaissance de M. Imad Lahoud. Je l'ai mis aussitôt en relation avec la DGSE qui l'a "traité selon ses procédures".
"Suivant cette opération à travers les comptes-rendus de ce service et quelques contacts avec IL (Imad Lahoud, NDLR), il est vite apparu que cette source avait un profil complexe, pouvant nous entraîner dans des actions douteuses", souligne l'ex-agent.
"J'ai, malgré ma méfiance naturelle, continué à voir IL pour tenter de pénétrer des réseaux bancaires arabes susceptibles de remonter à Oussama Ben Laden", précise-t-il encore.
Pour conclure, le général Philippe Rondot estime s'être comporté en "militaire loyal et scrupuleux, soucieux de ne pas faire obstacle à la justice" française.
Selon L'Est Républicain, Philippe Rondot est convoqué ce jeudi par les enquêteurs de la Direction nationales des infractions financières dans le cadre de cette affaire Clearstream.

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