REVOILA CLEARSTREAM
COMME PAR HAZARD,A QUELQUES DES PRESIDENTIELLES REVOILA L'AFFAIRE CLEARSTREAM.
MAIS,CE QUI EST ENCORE LE PLUS EXTRAORDINAIRE C'EST QUE LE GENERAL RONDOT QUI AVAIT REFUSE DE REPONDRE AUX DIFFERENTES CONVOCATIONS DES JUGES SUR CETTE AFFAIRE ECRIT UNE LETTRE PAR L'INTERMEDIAIRE DES JOURNAUX POUR ESSAYER,UNE NOUVELLE FOIS DE DEDOUARNER DE VILLEPIN ET SARKOSY.
DANS CETTE LETTRE ,IL CONTREDIT TOUT CE QU'IL AVAIT DIS ET ECRIT AU PARAVENT.
IL EST VRAI,QUIL AGIT EN BON SOLDAT QUI DOIT OBEIR AUX ORDRES.
MAINTENANT IL EST SUR ,AVANT IL ETAIT SUR DU CONTRAIRE,QUE LE NOM DE SARKOSY N'APPARAIT PAS SUR LES DOCUMENTS QUI ONT ETE SAISI CHEZ CE GENERAL.
EN VOULANT DEDOUANER DE VILLEPIN ET SARKOSY SUR CLEARSTREAM ,RONDOT ESPERE T IL N'ETRE PAS CONDAMNE PAR LA BRIGADE FINANCIERE?
EN TOUS LES CAS,SI DE VILLEPIN ET SARKOSY n4ETAIENT PLUS CITES DANS CETTE AFFAIRE CELA CONFIRMERAIT QUE LES JUGES SONT "BAILLONNES" PAR LE GOUVERNEMENT ET QU'ILS MONTRENT QU'ILS DICTENT A LA JUSTICE CE QU'ELLE DOIT FAIRE ET QU'ELLE DEPEND BIEN DE L'ETAT ET N'EST PLUS INDEPENDANTE DEPUIS 2002.
CELA PROUVE AUSSI QUE DANS CETTE AFFAIRE S'IL Y AVAIT DES CONDAMNATIONS CE NE SERAIT QUE DES LAMPISTES QUI PAYERAIENT ET LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES POURRAIENT DORMIR TRANQILLEMENT APRES LES AFFAIRES DE LA MAIRIE DE PARIS CE NE SERAIT QUE LA TROISIEMME FOIS OU LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES SERAIENT EPARGNE ET RESTERAIENT A LA TETE DE L'ETAT ET DU GOUVERNEMENT ET FERAIENT DE LA MORAL AUX CITOYENS FRANCAIS:SCANDALEUX
LE PRESIDENT DE LA G.O.C.
CLEARSTREAM |
Philippe Rondot dédouane
Dominique de Villepin
NOUVELOBS.COM | 27.07.06 | 09:53
Le général a adressé une lettre aux magistrats chargés de l'enquête pour éclaircir les rôles de chacun.
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L
e général Philippe Rondot a adressé une lettre aux magistrats chargés
du dossier Clearstream afin d'éclaircir le rôle des politiques, et plus
particulièrement ceux du Premier ministre, Dominique de Villepin, qu'il
dédouane de toute manipulation, et du ministre de l'Intérieur, Nicolas
Sarkozy, dont il affirme qu'il était au courant de toute l'affaire. L'Est Républicain publie de larges extraits de cette lettre dans son édition de jeudi 27 juillet.
L'ancien
militaire et spécialiste français du renseignement n'avait pas répondu
le 22 mai dernier aux questions de juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons
qui lui avaient refusé le statut de témoin assisté. Dans sa lettre, il
affirme que personne ne (lui) a "jamais demandé de cibler Nicolas
Sarkozy ou d'autres, ni de nommer ou de laisser se faire un montage
visant des personnalités".
Rondot réfute la thèse de manœuvre contre Sarkozy
"Je
suis, aujourd'hui, sûr que le patronyme de M. Nicolas Sarkozy ne
figurait pas sur les documents reçus contrairement à ce que j'ai pu
déclarer dans ma déposition du 28 mars 2006", ajoute le militaire.
"Tout soupçon de manœuvre à l'égard de Nicolas Sarkozy, qui avait
fait des déclarations publiques à ce sujet, était manifestement
infondé", note-t-il.
"J'ai bien essayé de faire passer un message
à M. Nicolas Sarkozy, M. Philippe Marland (directeur de cabinet de
Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, NDLR) en ayant été
averti, a laissé sans suite".
"J'ajoute que Dominique de Villepin
souhaitait éviter toutes rivalités de service et toute fuite". "Quand,
à l'automne 2004, les doutes se sont confirmés, nous avons ensemble
mesuré les risques médiatiques que pouvait engendrer une telle affaire,
ce qui ressort de mes échanges avec M. Dominique de Villepin, Michèle
Alliot-Marie et Philippe Marland (directeur de cabinet du ministre de
la Défense, NDLR)".
Lahoud, "profil complexe"
Revenant
sur sa relation avec l'informaticien Imad Lahoud, soupçonné d'avoir
introduit de faux noms dans les listings Clearstream, Philippe Rondot
précise dans sa lettre: "C'est donc en janvier 2003 que j'ai fait la
connaissance de M. Imad Lahoud. Je l'ai mis aussitôt en relation avec
la DGSE qui l'a "traité selon ses procédures".
"Suivant cette
opération à travers les comptes-rendus de ce service et quelques
contacts avec IL (Imad Lahoud, NDLR), il est vite apparu que cette
source avait un profil complexe, pouvant nous entraîner dans des
actions douteuses", souligne l'ex-agent.
"J'ai, malgré ma méfiance
naturelle, continué à voir IL pour tenter de pénétrer des réseaux
bancaires arabes susceptibles de remonter à Oussama Ben Laden",
précise-t-il encore.
Pour conclure, le général Philippe Rondot
estime s'être comporté en "militaire loyal et scrupuleux, soucieux de
ne pas faire obstacle à la justice" française.
Selon L'Est Républicain,
Philippe Rondot est convoqué ce jeudi par les enquêteurs de la
Direction nationales des infractions financières dans le cadre de cette
affaire Clearstream.