FINUL: déclaration minimaledu Conseil de sécurité
ISRAEL PEUT CONTINUER A TUER DES MEMBRES DE LA FINUL,DES INNOCENTS PUIQU'ELLE A LE SOUTIEN,L'AUTORISATION DES ETATS UNIS ET DE LA GRANDE BRETAGNE.
ISRAEL VEUT COMME LES ETATS UNIS IGNORER L'ONU ET IMPOSER A CETTE DERNIERE SES CONDITIONS .
IL SERAIT TEMPS QUE TOUS LES MEMBRES PERMANENTS DE L'ONU DONT SIEGE PRINCIPALEMENT LA FRANCE ,LA RUSSIE ,LA CHINE ...TAPENT DU POINT SUR LA TABLE ET IMPOSE A ISRAEL DE S'EN TENIR A CE QUE DIT L'ONU.
IL EST EVIDENT QUE PAR LA VOLONTE DE DESARMER LE HEZBOLLAH ,CE QUE VEUT TOUT LE MONDE SAUF NATURELLEMENT:LA SYRIE ET LE L'IRAN,ISRAEL VEUT ANEANTIR UNE BONNE PARTIE DU LIBAN QUI COMMENCAIT A SORTIR LA TETE DE L'EAU.
EN ATTAQUANT ET EN TUANT DES CIVILS AUTRES QUE LES MEMBRES DU HEZBOLLAH ET EN ALLANT BONBARDER BEYROUTH ISRAEL ENFLAMME LE RESTE DE LA REGION ET ISRAEL A REUSSI A SE METTRE A DOS LES LIBANAIS QUI CERTAINS SONT POUR L'ENLEVEMENT DE SOLDATS ISRAELIENS ET ISRAEL A REUSSI A CE QUE DES IRANIENS VIENNENT SE JOINDRE AU HEZBOLLAH.
IL EST TEMPS QUE LES ISRAELIENS REVIENNENT A LA RAISON ET COMPRENNENT QUE RIEN NE SE RESOUD PAR LA GUERRE MAIS PAR LA NEGOCIATION SOUE L'EGIDE DE L'ONU ET IL SERAIT TEMPS QUE LES ETATS UNIS ET LA GRANDE BRETAGNE LE COMPRENNENT AUSSI AU LIEU DE LAISSER ISRAEL FAIRE LEUR SAL BOULOT.
LE PRESIDENT DE LA G.O.C.
NOUVELOBS.COM | 28.07.06 | 10:00
"Profondément choqué" par la mort des
observateurs de l'ONU tués par des bombardements israéliens, le Conseil
de sécurité ne condamne pas l'Etat hébreu.
L'ambassadeur français Jean-Marc de la Sablière (AP) |
L
e Conseil de sécurité de l'ONU a adopté jeudi 27 juillet une
déclaration dans laquelle il se dit "profondément choqué et bouleversé"
par la mort de quatre observateurs de la FINUL tués par des
bombardements israéliens mardi soir au Liban-Sud, sans pour autant
condamner ces tirs.
Après
de longues tractations sur la formulation de cette "déclaration
présidentielle", les 15 membres du Conseil ont approuvé à l'unanimité
ce texte édulcoré, le premier depuis le début de l'offensive
israélienne au Liban le 12 juillet.
"Le Conseil de sécurité est
profondément choqué et bouleversé par les tirs que les forces de
défense israéliennes ont dirigés le 25 juillet contre un poste
d'observateurs des Nations unies", selon le texte de cette déclaration
lue par le président en exercice du Conseil, l'ambassadeur français
Jean-Marc de La Sablière.
Se disant "profondément préoccupé", le
Conseil "insiste sur le fait qu'Israël et toutes les parties concernées
doivent honorés pleinement leurs obligations" au regard de la
protection du personnel de l'ONU sur le terrain.
Les déclarations présidentielles, lues en séance formelle, sont
plus fortes que de simples communiqués de presse, mais n'ont pas la
valeur d'une résolution.
Le rôle des USA
Les
Etats-Unis, principal allié d'Israël, avaient refusé que soient
mentionnés toute condamnation de ces tirs israéliens, toute allusion à
la possibilité d'une action délibérée de l'armée israélienne et tout
appel à la constitution d'une commission d'enquête conjointe.
Les
quatre observateurs non armés de la FINUL (Force intérimaire des
Nations unies au Liban) ont été tués alors qu'ils se trouvaient dans un
poste connu des belligérants, dans la localité de Khiam, à l'extrémité
orientale de la frontière avec Israël.
Dans la seule référence au
conflit dans son ensemble, le Conseil a exprimé sa "profonde
préoccupation pour les victimes et souffrances civiles libanaises et
israéliennes, pour la destruction d'infrastructures civiles et pour le
nombre croissant de personnes déplacées à l'intérieur".
Preuve de
la formulation édulcorée du texte, l'ambassadeur israélien auprès de
l'ONU, Dan Gillerman, a lui-même qualifié cette déclaration de "très
équitable et équilibrée", jugeant normal que le Conseil adopte ce texte
en mémoire des quatre observateurs tués. Il a réitéré, au nom de son
pays, ses "profonds regrets pour ce tragique accident".
Pas d'enquête
L'ambassadeur
d'Israël aux Nations unies a rejeté la participation des Nations unies
à une enquête sur les frappes qui ont détruit un poste de la Finul
mardi, faisant quatre morts.
Dan Gillerman a déclaré qu'Israël ne
permettrait pas aux Nations unies de se mêler à une enquête sur les
frappes aériennes qui ont détruit mardi un poste de la Finul (Force
intérimaire des Nations unies au Liban), tuant quatre observateurs.
"Israël
n'a jamais donné son accord à une enquête conjointe, et je ne pense pas
que si quelque chose arrivait en Grande-Bretagne, en France ou en
Italie, le gouvernement de ce pays serait d'accord", a commenté Dan
Gillerman, qui s'est excusé pour les frappes, mais a justifié qu'il
s'agissait d'une guerre, et que les accidents pouvaient arriver.
Ce
refus constitue un revers pour les dirigeants de l'ONU, qui avait
souhaité spécifiquement s'associer à Israël pour mener une enquête sur
le bombardement.
Israël ne veut pas de l'ONU au Liban
Par
ailleurs, Dan Gillerman a exclu jeudi que l'ONU joue un rôle majeur
dans le commandement d'une éventuelle force internationale au Liban, et
Dan
Gillerman s'est également montré très critique envers les forces
maintien de la paix déployées dans une zone tampon entre Israël et le
Liban depuis 1978, affirmant que ses infrastructures avaient été
utilisées comme couverture par le Hezbollah. Il a également relevé avec
ironie que le terme "intérim" était peu adapté à une force en place
depuis 28 ans.
Concernant un éventuel commandement de l'ONU pour
la force internationale qui pourrait être envoyée au Liban, Dan
Gillerman en a rejeté l'idée, estimant que des soldats plus
professionnels et mieux entraînés seraient plus à même de maîtriser la
situation.