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Gauche ouvrière et chrétienne
12 juin 2006

Vieillesse et maladie mentale: tutelles à réformer d'urgence

ROYALE ET SES AMIS DEVRAIENT SAVOIR CE QUE C'EST LA TUTELLE ET QUE NORMALEMENT ET LEGALEMENT ELLE N'EST PAS FAITE POUR LES PERSONNES,LES FAMILLES EN DEFICULTEES FINANCIERES ;CAR,ROYALE ET CERTAINS DE SES AMIS ONT FAIT PARTI SOIT D'UN GOUVERNEMENT SOUS MITTERAND SOIT SOUS JOSPIN.

ELLE FERAIT BIEN DE REVISER CETTE LOI ET SES AMIS OU MILITANTS QUI SUIVANT LEURS METIERS DEVRAIENT LUI DIRE A QUOI LA TUTELLE SERT REELLEMENT.

D'AILLEURS CELA FAIT DIX ANS QU'UNE REFORME DE LA TUTELLE DOIT ETRE FAITE,MAIS IL Y A 1OANS ROYALE ETAIT AU GOUVERNEMENT;BIZARRE....

BIEN QU'ICI ,IL SOIT QUESTION DES PERSONNES AGEES ET MALADE MENTALE;LE CONSTAT EST LE MEME POUR LES FAMILLES.

ET IL N'EST ABSOLUMENT PAS UTILE QUE LE PROJET,LE PROGRAMME SOCIALISTE EN FASSE REFERENCE.
CAR,COMME IL EST INDIQUE CI DESSOUS AU MOINS 20% DE CEUX QUI ONT ETE MIS SOUS TUTELLE,DEPENDANTENT TOUT SIMPLEMENT DES SERVICES SOCIAUX ET QU'IL EST NECESSAIRE QUE LES DEPARTEMENNTS OU REGIONS LEURS GARANTISSENT ASSISTANCE BUDGETAIRE ET SOCIALE.

SI ROYALE APPLIQUE DANS SA REGION LA TUTELLE QU'ELLE VOUDRAIT METTRE AU PLAN NATIONNAL,IL DOIT Y AVOIR DE NOMBREUSE FAMILLES A Y ETRE EN TUTELLE EN POITOU CHARENTE.

ELLE NOUS A ENCORE MONTRE SON INCAPACITE A GOUVERNER.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.



Un nouveau texte pourrait être examiné par le Parlement à la rentrée.

par Charlotte ROTMAN
QUOTIDIEN : lundi 12 juin 2006


Promise depuis dix ans, mais toujours repoussée, la réforme des tutelles est réclamée par tous les professionnels en charge des adultes sous protection juridique. Un nouveau texte pourrait être examiné par le Parlement à la rentrée. Laurence Pécaut-Rivolier (1), ancienne présidente de l'Anji, association nationale des juges d'instance, actuellement conseillère à la Cour de cassation, en souligne l'urgence.

Pourquoi une réforme ?

Le texte en vigueur date de 1968. A l'époque, on pensait qu'il y aurait peu de majeurs à protéger et qu'ils seraient pris en charge dans le cadre familial. Aujourd'hui, avec le vieillissement de la population et sa marginalisation partielle, les besoins de protection ont explosé : il y a 800 000 mesures de protection. Et la famille n'en prend en charge que 55 %. Outre les finances, on a aussi besoin de gérer ce qui concerne les personnes : une opération, un placement en maison de retraite, un déménagement. Aujourd'hui, les tutelles sont vues comme la bouée de sauvetage de la maladie mentale et de la vieillesse. Mais elles ne peuvent répondre à tout.

Comment éviter les abus ?

Le projet prévoit un «mandat de protection future» : on pourra désigner à l'avance celui qui s'occupera plus tard de nous et de nos affaires. C'est très bien mais cela ne réglera pas tout. Le système repose aujourd'hui sur des tuteurs professionnels dont il faut redéfinir le statut et la rémunération. Il faut revoir le texte pour intégrer tout ce qui concerne le droit de la personne. Laisser le majeur et sa famille avoir accès au dossier. Enfin, il faut donner des moyens à la justice : 80 juges en équivalent temps plein, ce n'est pas assez.

Sur quoi cette réforme bute-t-elle ?

Environ 20 % des majeurs protégés sont en difficultés sociales et ne devraient pas relever du dispositif des tutelles. Il faudrait que les départements puissent leur garantir assistance budgétaire et sociale. C'est là que ça bloque.

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