La prime transport déraille à l'Assemblée
les députés ont suivi la demande du patronat et leur faire encore des cadeaux ; ils ont ainsi sacrifier les salariés sur l'autel du patronat
les syndicats sont furieux mais les salariés doivent l'être tout au tant ,car c'est une promesse de Fillon qui passe à la trappe
Fillon dis qu'il la maintiendra cette prime ,mais en aura t il le pouvoir la possibilité vu le nombre d'amis que les patrons ont dans le gouvernement et en particulier Sarkosy qui ne s'est pas exprimé sur le sujet.
La crise financière à permis aux patrons de recevoir de l'aide ,mais les français ,les salariés ,n'ont rien reçu de tous les milliard versé par l' État pour ,soit disant ;palier à la crise
Nous voyons ,si celà était encore nécessaire ,que le patronat fait la pluie et le beau temps au sein du gouvernement
il va falloir que les syndicats avec tous les salariés fassent comprendre au patronat que eux aussi ,les salariés ,ont besoin d'avoir une compensation pour leurs frais de transport et qu'ils ont droit à avoir un pouvoir d'achat décent
Le Président de la G.O.C. ( futur M.D.C.)
Par LEXPRESS.fr, mis à jour le 22/10/2008
Réunis en commission des Affaires sociales, les députés ont refusé de valider dans le projet de budget 2009 la prime transport annoncée par le gouvernement. Motif: le prix du pétrole a baissé.
Les députés ont décidé mardi, en commission des Affaires sociales, de supprimer l'article du projet de budget 2009 pour la Sécu instaurant la prime transport annoncée par le gouvernement, a-t-on appris de source parlementaire.
Cette mesure, adoptée à l'issue d'un âpre débat en commission, doit encore faire l'objet d'un vote en séance publique lors de l'examen, la semaine prochaine, du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).
L'aide au transport pour les trajet domicile-travaildomicile-travail, incluse par le gouvernement dans le PLFSS, s'articule en deux volets: l'extension de la prise en charge obligatoire de 50% des titres de transports collectifs, actuellement en vigueur en Ile-de-FranceIle-de-France, et la prise en charge facultative des frais d'utilisation d'un véhicule personnel, dans la limite de 200 euros par an.
"Le dispositif proposé ne se justifie pas ou plus, en particulier parce qu'il vaut mieux privilégier le salaire direct et que les prix du pétrole ont baissé", peut-on lire dans l'amendement du président UMP de la commission, Pierre Méhaignerie, et du rapporteur du budget Sécu, Yves Bur (UMP).
Dans un amendement identique, Dominique Tian (UMP) dénonce lui "une nouvelle taxe qui frappe l'appareil productif dans un contexte de crise financière systémique, de récession au sein de l'économie réelle et de poussée de l'inflation qui obère le pouvoir d'achat".
La prime transport pourrait, selon lui, avoir "un impact négatif en matière d'emploi"