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Gauche ouvrière et chrétienne
23 mars 2008

PS - Les plans A et B de Mélenchon

Déja avant la présidentielle ,Mélenchon avait dis qu'il songeait à quitter le PS;

encore une fois ,il menace de le faire avec ses amis s'ils n'obtiennent pas satisfactions au prochain congrès de son parti.

mais ,il devrait bien se rappeler que pour celui du Mans certains avaient  ,soit disant eu satisfaction,

mais quelques temps après  ils ont déchantés.

Et pour ,soit disant ,garder l'unité du parti ,il en sera de même pour Mélenchon et ses amis.

Il serait temps que lui et ses amis mettent en application leurs idées et faire  un front commun de gauche.

La GAUCHE OUVRIÈRE ET CHRÉTIENNE  ,du moins ceux qui l'ont fondé ,il est vrai n'ont pas la notoriété de Mélenchon et cie ,n'ont pas hésité à franchir le pas.

Nous n'avons pas la notoriété de Mélenchon et cie mais ,nous savons ,nous avons eu beaucoup de témoignages ,que nous avons un certain Aura et un Aura certain,cela malgré que les médias audiovisuels nous boudent

Le Président de la G.O.C.

20/03/2008 N°1853 Le Point

Michel Revol

Non, Jean-Luc Mélenchon ne tourne pas cosaque. La dérive centriste du PS l’afflige, certains leaders tels que Ségolène Royal lui donnent des boutons, mais le sénateur socialiste de l’Essonne hésite encore avant de claquer la porte de la Rue de Solferino. « Je n’ai jamais pratiqué la politique du pire », assure l’ex-trotskiste. L’alternative, partir ou rester, se présente de la manière suivante.

Plan A : Mélenchon présente au prochain congrès une motion avec « toute la gauche du parti », c’est-à-dire Emmanuelli, Hamon, Liennemann, Quilès, etc. Mais il y met un préalable : une aile gauche doit pouvoir exister au sein du PS. Mélenchon prendrait ainsi comme un casus belli la suppression d’une phrase qu’il a fait inscrire dans la déclaration de principes du Parti socialiste. Elle dit que le PS est un « parti de rassemblement, qui met le réformisme au service des espérances révolutionnaires »... Mais, si les conditions de Mélenchon ne sont pas remplies, cet esprit iconoclaste, qui préfère la lecture du Figaro à celle du Nouvel Observateur, passerait au plan B : la création d’un front de gauche, sur le modèle du parti fondé en Allemagne par Oskar Lafontaine, Die Linke. Les discussions sont déjà bien engagées avec les leaders de la gauche de la gauche : Marie-George Buffet, Olivier Besancenot, Jean-Pierre Chevènement, Clémentine Autain... Leur point commun : tous ont milité pour le non à la Constitution européenne.

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