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Gauche ouvrière et chrétienne
1 janvier 2008

LIBAN:Damas affirme que Paris l'a contacté

Il y aurait un court - circuit entre Sarkosy et son gouvernement?

Ou alors notre Président veut il faire croire qu'il fait pression sur la Syrie en disant que la France ne parlera plus avec  ce pays tant qu'il ne laissera pas faire l'élection d'un Président d'union au  Liban?

Alors que du plus haut de l'Etat Français la négociation,la discutions entre paris et Damas continuait et continuerait malgré le soit disant boycottage annoncé par Sarkosy?

Le Président de la G.O.C.

NOUVELOBS.COM | 31.12.2007

Le chef de la diplomatie syrienne aurait reçu deux appels du secrétaire de l'Elysée, Claude Guéant, au lendemain de l'annonce de Nicolas Sarkozy d'un boycottage de la Syrie en raison du dossier libanais.

L'agence officielle syrienne a affirmé, lundi 31 décembre, que le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem, avait reçu lundi deux appels du secrétaire général de l'Elysée au lendemain de l'annonce par le président Nicolas Sarkozy d'un boycottage de Damas en raison du dossier libanais. "Dans le cadre de la poursuite des efforts entre la Syrie et la France visant à parvenir à un règlement consensuel de la crise au Liban, le ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, a reçu dans la matinée deux appels téléphoniques du secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant", a rapporté Sana. "Les entretiens ont porté sur les moyens d'aider les parties libanaises à surmonter la crise politique et parvenir à une solution de consensus en vue de garantir la sécurité et la stabilité du Liban", a poursuivi l'agence.

"Preuves de la volonté des Syriens"

Nicolas Sarkozy a déclaré dimanche au Caire que la France n'entrera plus en contact avec la Syrie, l'ancienne puissance de tutelle au Liban, "tant que nous n'aurons pas des preuves de la volonté des Syriens de laisser le Liban désigner un président de consensus".
Lundi, le ministre syrien de l'Information, Mohsen Bilal, a cependant assuré dans une interview à un quotidien en arabe que les relations entre les deux pays n'avaient pas été interrompues "jusqu'à présent". "Les relations se poursuivent jusqu'à présent malgré les déclarations et nous œuvrons avec les Français pour tirer le Liban de cette crise", a déclaré Mohsen Bilal à l'Asharq al Awsat.

Le Liban sans président

Le Liban est sans président depuis le 24 novembre en raison de clivages persistants entre la majorité anti-syrienne et l'opposition appuyée par Damas et Téhéran.
Celle-ci réclame notamment de discuter de la composition du futur gouvernement avant l'élection du chef de l'armée Michel Sleimane, candidat de consensus, ce que refuse la majorité.
La séance parlementaire prévue samedi dernier pour élire un chef de l'Etat a été de nouveau repoussée, pour la onzième fois, alors que le Liban traverse sa pire crise politique depuis la fin de la guerre civile en 1990.

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