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Gauche ouvrière et chrétienne
16 novembre 2007

Politique;Etudiants: "rien ne justifie les violences" pour Valérie Pécresse

Bien sur que rien ne justifie les violences ,mais il faudrait aussi que le gouvernement dise aux policiers,aux CRS d'être moins violent ;
et également de dire aux étudiants qui sont de leurs coté,aux syndicats étudiants de droite,d'arrêter d'être violents ,de faire de la provocation et de lancer à droite et à gauche de fausses vérités

Ils seraient bon aussi que certains journaux arretent de vouloir faire l'amalgame entre les étudiants et l'extrême droite;et pourquoi ne font ils pas la meme chose avec ceux soit disant contre la grève et les partis politiques d'extrême droite?

Les étudiants se sont aperçu que le gouvernement leur mentait,ne respectait pas ses promesses

Le Président de la G.O.C.


AP | 16.11.2007

La ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse martèle vendredi que "rien ne justifie les violences" dans les universités contre son projet de réforme, soulignant qu'elle "veut dissiper les craintes" face à une sélection à l'entrée en université.

Au lendemain de sa rencontre avec les syndicats étudiants qui ont appelé à la poursuite du mouvement, Valérie Pécresse souligne dans "Le Figaro" que "les blocages sont contraires aux intérêts des étudiants".

"Je demande aux syndicats étudiants de dire non aux blocages. Ils doivent se refuser à les cautionner", indique la ministre, qui "leur a rappelé qu'elle condamnait fermement toute forme de violence ou de dégradation".

"Rien ne justifie la violence, surtout au sujet d'une loi concertée du début à la fin avec les organisations étudiantes pendant plus de soixante heures", note Mme Pécresse, assurant que "(s)a porte est toujours ouverte pour ceux qui veulent dialoguer".

La ministre de l'Enseignement supérieur a précisé sur France-2 que le mouvement étudiant vendredi matin "touche 32 universités: il y a deux fermées, sept qui sont bloquées et une vingtaine qui sont touchées à des degrés divers: cela peut être un site un barrage filtrant une poignée d'étudiants".

Ecartant toute idée de sélection à l'entrée de l'université, Valérie Pécresse martèle que "dans la loi, il n'y a pas de sélection, pas d'augmentation des frais d'inscription dans les universités". "Il n'y a pas davantage de privatisation".

"Les étudiants ont peur que l'Etat se désengage. Mais c'est tout le contraire!", répète la ministre de l'Enseignement supérieur. "Je comprends que les étudiants veuillent que les choses s'améliorent vite, mais on ne change pas en six mois vingt ans de sous-dotation de l'université".

Enfin Valérie Pécresse redonne les principaux chiffres de son budget pour les universités, qui doit être voté vendredi, à savoir qu'"on va passer de 10 à 15 milliards d'euros de crédits budgétaires en cinq ans, soit une augmentation de 50%". AP

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