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Gauche ouvrière et chrétienne
13 janvier 2007

Bush:Président esseulé et "borné"

LE PRESIDENT AMERICAIN PERSISTE DANS SES ERREURS ET AVEC LUI SES ALLIES.

MEME MAINTENANT LA MAJORITE DES AMERICAINS NE SONT PAS D'ACCORD POUR QU'IL Y AIT D'AUTRES GIS ENVOYES EN IRAK AINSI QUE LES DEMOCRATES ET CERTAINS REPUBLICAINS.

MALGRES CELA ET AUSSI LES PROPOSITIONS POUR POUVOIR MIEUX GERER LA PRESENCE DES AMERICAINS ET DE LEURS ALLIES EN IRAK POUR PERMETTRE QUE LA PAIX COMMENCE A REGNER DANS CE PAYS ET AUSSI LES PROPOSITIONS POUR QUE LES SOLDATS AMERICAINS PARTENT PETIT A PETIT " DU BOURBIER"IRAKIEN ,BUSH S'OBSTINE ET EST MAINTENANT BIEN SEUL.

BUSH VA T IL ENFIN ENTENDRE RAISON?

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.

Feu nourri contre le nouveau plan du président Bush pour l’Irak
                                         

                ÉTATS-UNIS                 Les démocrates et certains républicains ont sévèrement critiqué hier la nouvelle stratégie irakienne de la Maison-Blanche.

                

JEAN-COSME DELALOYE / NEW YORK
                      Publié le 12 janvier 2007

George Bush, hier, priant pour un marine décédé. / EPA
George Bush, hier, priant pour un marine décédé. / EPA

Vingt minutes sur les chaînes de télévision nationales mercredi n'ont apparemment pas suffi à George Bush pour convaincre. Les principaux points de sa nouvelle stratégie irakienne, dont l'envoi de 21 500 nouveaux soldats américains, ont été critiqués hier au Congrès à Washington.

«J'ai toujours soutenu le président sur ce point (n.d.l.r.: la guerre en Irak). J'ai cru en son rêve. Mais à ce niveau-là, je ne pense pas qu'il va se réaliser.» L'homme au regard grave qui a prononcé ses mots hier matin n'est pas démocrate. Il s'appelle George Voinovich et est sénateur républicain de l'Ohio. Chuck Hagel, son collègue de parti, a aussi lâché George Bush et qualifié son plan «de pire erreur de politique étrangère depuis le Vietnam».

Forte du soutien des électeurs américains qui, dans leur ensemble, veulent un retrait d'Irak, la nouvelle majorité démocrate au Congrès a attaqué la Maison-Blanche.

L'«oral» de Condoleezza Rice, la secrétaire d'Etat qui avait été convoquée dans la matinée par les sénateurs pour expliquer les intentions du gouvernement en Irak, s'est par moments transformé en règlement de comptes. Pressée par les élus, Condoleezza Rice a refusé de dire combien de temps George Bush s'est donné pour tenter d'améliorer la situation en Irak. Elle a aussi affirmé comprendre le scepticisme des Américains mais a répété que les Etats-Unis ne pouvaient pas se permettre d'échouer dans cette guerre.

Président esseulé


Face à la Secrétaire d'Etat, Barbara Boxer, sénatrice démocrate de Californie, a fait part de sa «consternation». La presse américaine a aussi sévèrement critiqué un George Bush qui apparaît aujourd'hui esseulé. Hier dans l'après-midi, le président s'est entouré de soldats sur une base de l'Etat de Georgie, pour faire la promotion de son plan alors que Robert Gates, le nouveau patron de la Défense, et le général Peter Pace, numéro un de l'armée Américaine, le défendaient au Congrès. Gates a annoncé une augmentation de 92 000 hommes des effectifs de l'armée de Terre et des Marines sur cinq ans.

Un détail révèle cependant les difficultés de recrutement outre-Atlantique: vendredi dernier, l'armée a reconnu avoir envoyé par erreur à 275 officiers décédés et blessés une lettre leur demandant de reprendre du service.

                                                                                                                       

Des activistes veulent empêcher l'envoi de renforts en Irak

SDA-ATS News Service

WASHINGTON - Les adversaires de la guerre en Irak comptent organiser des milliers de manifestations aux Etats-Unis. Ils vont aussi mener une campagne de publicité de plusieurs millions de dollars pour empêcher George W. Bush d'envoyer, comme il l'a annoncé, 21'500 militaires en Irak.
Remobilisés par ce qu'ils présentent comme un acte de défi du président américain à son peuple, majoritairement hostile la guerre en Irak, ces activistes affirment vouloir occuper les ondes, les rues et internet pour faire pression sur le Congrès afin qu'il ne finance pas l'augmentation de troupes. "Le discours d'hier soir a renforcé l'opposition à la guerre", a déclaré Tom Andrews, un ancien député du Maine qui dirige aujourd'hui l'organisation "Win Without War".
Galvanisés par le discours prononcé mercredi soir par le président Bush, les opposants à la guerre prévoient jeudi soir un millier de manifestations dans tous les Etats du pays, avant un grand rassemblement le 27 janvier autour du Capitole.
L'organisation MoveOn compte financer une campagne télévisée pour dénoncer le fait que le sénateur républicain John McCain, candidat possible à la prochaine présidentielle, défendent l'envoi de renforts en Irak. Ce mouvement va également financer une campagne d'affichage à Washington. Au total, il pourrait débourser entre sept et neuf millions de dollars.
A en croire un sondage ABC News-Washington Post réalisé après le discours de M. Bush, 61% des Américains sont hostiles à l'envoi de renforts en Irak, contre 36% qui y sont favorables.

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