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Gauche ouvrière et chrétienne
29 octobre 2006

Pour Fabius, ni "purge libérale" ni "rustine sociale-démocrate"

POUR NOTRE SONDAGE,FABIUS RIVALISE AVEC ROYAL ;DONC ,POUR CEUX QUI VIENNENT SUR NOTRE FORUM ET PARTICIPE AU SONDAGE FABIUS EST UN AUSSI BON PRESIDENTIABLE QUE SA CONCURENTE.

NOUS SOMMES D'ACCORD AVEC LUI,QUAND IL DIT QU'IL A CHANGE ET IL CONTINUE DANS SA LIGNE DEPUIS LE NON AU REFERENDUM;NOUS NE VOYONS PAS POURQUOI,IL FAUDRAIT SE MEFIER DE LUI.

SES DEUX AUTRES ADVERSAIRES EUX ONT CHANGE DE LIGNE,DONC ILS CHANGERONT TOUT AUTANT SI L'UN OU L'AUTRE ETAIT DESIGNE COMME CANDIDAT DU PS ET ENSUITE,AU SECOND TOUT,DFE LA GAUCHE;NOUS NE POUVONS ABSOLUMENT PAS LEURS FAIRE CONFIANCE.

FABIUS EST LE SEUL QUI SOIT A GAUCHE ET QUI AIT UN PROGRAMME DE GAUCHE.

POUR NOUS,COMME POUR BIEN D'AUTRES PERSONNES,FABIUS EST LE SEUL A POUVOIR MENER LA GAUCHE A LA VICTOIRE ,EN DISANT CELA NOUS NOUS ADRESSONS A TOUT LE PEUPLE DE GAUCHE.


LE PRESIDENT DE LA G.O.C.


Pour Fabius, ni "purge libérale" ni "rustine sociale-démocrate"
28/10/2006 - 20h20

PARIS (Reuters) - L'ancien Premier ministre socialiste Laurent Fabius ne veut ni "purge libérale" ni "rustine sociale-démocrate".

Le plus mal placé des trois prétendants à l'investiture du PS pour l'élection présidentielle de 2007 prolonge dans une interview au Parisien Dimanche le débat qu'il a eu jeudi soir au Zénith avec ses rivaux Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn.

"On ne réussira pas l'alternance en reprenant les recettes de la droite ou en copiant exactement celles que la gauche a mise en oeuvre hier", déclare-t-il. "La France a besoin d'un vrai changement à gauche, pas d'une nouvelle purge libérale ni d'une rustine sociale-démocrate à l'ancienne."

Une allusion à Ségolène Royal, accusée par ses détracteurs de trop "coller" à Nicolas Sarkozy, et à Dominique Strauss-Kahn, qui se présente lui-même comme un social-démocrate.

Il critique également de nouveau les "jurys citoyens" proposés par la présidente de Poitou-Charentes, qui a accusé ses rivaux d'avoir "peur du peuple".

S'il s'agit de transformer "quelques citoyens en procureurs, on ne peut pas l'accepter", dit-il. "S'il s'agit de consulter la population sur un projet précis et technique, c'est une possibilité parmi beaucoup d'autres."

"Donc, oui à la démocratie participative, non à la démocratie punitive", ajoute-t-il. "Aucun socialiste n'a le monopole du peuple."

L'ancien Premier ministre affirme qu'il est aujourd'hui "le seul des trois candidats à défendre vraiment" le projet socialiste et demande aux militants du PS de se prononcer "sans se laisser impressionner par la mousse médiatique ou le bruit des sondages".

"Je suis tout simplement à gauche", dit également Laurent Fabius, qui assure avoir tiré les leçons du 21 avril 2002 et de l'élimination du candidat socialiste Lionel Jospin par le candidat d'extrême-droite Jean-Marie Le Pen au premier tour de la dernière présidentielle.

"J'ai tiré les leçons de la mondialisation financière, de la gravissime menace écologique et de la précarisation tous azimuts", ajoute-t-il.

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