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Gauche ouvrière et chrétienne
6 septembre 2006

CACHAN:L'abbé Pierre écrità Jacques Chirac

POUR LES EXSQUATER DE CACHAN,IL N ' Y A NON SEULEMENT L'ANCIEN IMMEUBLE ET TERRAIN DE L'ARMEE QUE LE MAIRE DE LIMEIL ETAIT PRET A RECEVOIR CES FAMILLES ET IMMEUBLE QUE LE CONSEIL GENERAL ETAIT PRET A FINANCER TOUS LES TRAVAUX,MAIS QUE LE GOUVERNEMENT A REFUSE DE PRETER.

IL Y A AUSSI MAINTENANT UN IMMEUBLE A CACHAN ET APPARTENANT A L'ALJT ET LA CAISSE DE DEPOT ET CET IMMEUBLE SERAIT APTE A ACCUEILLIR LES EXSQUATTER.

TOUTES LES BONNES VOLONTES:MAIRE DE LIMEIL,CONSEIL GENERAL,ABBE PIERRE,LA CGT FONT EN SORTE QUE CES EXSQUATTER PUISSENT AVOIR UN TOIT ET VIVRE DIGNEMENT SANS PRENDRE LA PLCE DE D'AUTRES DEMANDEURS DE LOGEMENTS HLM ET AINSI QUE CETTE AFFAIRE SE TERMINE DIGNEMENT POUR TOUS:SQUATTER ET POUVOIR PUBLIQUE.

MAIS VOILA,EST  CE QUE LE CHEF DE L'ETAT,LE GOUVERNEMENT VONT VOULOIR ACCEPTER L'UNE OU L'AUTRE DES SOLUTIONS TROUVEES?

BIEN SUR CELA EMPECHERAIT QUE LES POUVOIR PUBLIQUES PUISSENT ARRETER DES LA SORTIE DU GYMNASE DE CACHAN LES SANS PAPIERS ET LES EXPULSENT,BIEN QU'ILS AIENT ARRETE UNE FEMME PENDANT QUE SON ENFANT ETAIT A L'ECOLE ET QU'ILS VEULENT L'EXPULSER .

SARKOSY EST PRET A TOUT POUR PASSER POUR LE SAUVEUR DE L'IMMIGRATION ET DONC NOUS DOUTONS QUE L'UNE OU L'AUTRE DES SOLUTIONS TROUVEES SOIT ACCEPTEE.

NOUS ESPERONS QUE DU COTE GOUVERNEMENTAL ,LE BON SENS REGNERA

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.

CACHAN

L'abbé Pierre écrit
à Jacques Chirac


NOUVELOBS.COM | 05.09.06 | 18:33

Il demande que les familles expulsées du squat puissent être accueillies provisoirement dans des locaux appartenant au ministère de la Défense.

L 'abbé Pierre a demandé mardi 5 septembre dans une lettre au président Jacques Chirac que les familles expulsées du squat de Cachan (Val-de-Marne) puissent être accueillies provisoirement dans des locaux appartenant au ministère de la Défense à Limeil-Brévannes.
"Je partage l'inquiétude de ces sans-logis, accueillis grâce à un élan de générosité du maire de Cachan, dans un gymnase municipal", écrit l'abbé Pierre, qui déclare avoir été "choqué par plusieurs événements".
Il cite notamment "les violences exercées par la police sur des femmes et des enfants lors de l'expulsion du squat, le harcèlement policier permanent, l'arrestation d'expulsés dans les hôtels mis à disposition par l'Etat, le placement par le procureur de la République d'un enfant de deux ans séparé de ses parents aimants, arrêtés dans un de ces hôtels".

"Un lieu d'accueil chaleureux"


"Je viens d'apprendre que le maire de Limeil-Brévannes avec l'appui du Conseil général du Val-de-Marne et du maire de Cachan, a demandé au préfet de mettre à disposition des locaux désaffectés, appartenant anciennement au CEA, et détenus actuellement par le ministère des armées", qui s'est heurté au refus du préfet, écrit le fondateur d'Emmaûs.
"Il ne s'agit pas de créer un nouveau Sangatte, et encore moins un camp de rétention, mais de faire un lieu d'accueil chaleureux où ces familles, et en particulier les 164 enfants qui ont tenté - non sans mal - de reprendre l'école hier matin, se sentiront enfin en sécurité", assure-t-il.
"Ces locaux sont pour nous tous et toutes une chance de solution à saisir", estime l'abbé Pierre.

La CGT annonce des logements vacants

Par ailleurs, dans un communiqué daté du mardi 5 septembre, l'union des syndicats CGT de la caisse des dépôts annonce que plusieurs centaines de logements vacants sont disponibles pour reloger les familles expulsées du squat de Cachan.
Le syndicat évoque notamment un immeuble appartenant à l'institution financière publique situé dans la ville et affirme qu'"il est possible de reloger provisoirement mais décemment l'ensemble des expulsés de Cachan, en réquisitionnant des immeubles vides appartenant à des personnes morales publiques dans le Val de Marne".

Rapides recherches

L'organisation syndicale déclare ainsi que "de rapides recherches [lui a] permis de repérer un immeuble situé à Cachan (...) et comptant plusieurs centaines de logements vacants. Cet immeuble appartient à l'ALJT (Association de logement des jeunes travailleurs), créée en 1956 par la Caisse des dépôts et dont la vocation est la gestion de résidences d'hébergement provisoire de jeunes travailleurs, notamment immigrés". La CGT estime que "cette résidence actuellement entourée de barrières de chantiers et gardée par des vigiles serait fermée depuis plusieurs mois en vue d'une réhabilitation prévue à l'horizon 2008". Le syndicat demande au directeur général de la caisse des dépôts et au président de l'ALJT, de la mettre à la disposition des familles expulsées.

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