Le projet de loi sur GDF-Suez "aura beaucoup de difficultés à passer
ET VOILA ENCORE UNE PIROUETTE ,UNE CONTRADICTION ELECTORAL DE SARKOSY.
ALORS QU'IL A TOUJOURS ETE CONTRE LA BAISSE EN DESSOUS DES 70% DE PREISE D'INTERET QU'A LE GOUVERNEMENT DANS GDF,LOI QU'IL A FAIT VOTE MAINTENANT IL SE DIT POUR LA PRIVATISATION DE GDF.
MAIS,CE PROJET AURA BIEN DU MAL A PASSER ET A AVOIR UNE MAJORITE DANS L'UMP.
EN TOUS CAS,LES PARTIS DE GAUCHE ET TOUS LES FRANCAIS DOIVENT RESTER MOBILISER POUR EMPECHER CETTE PRIVATISATION QUI NE RAPPORTERA QU'AUX DEUX GROUPES ET AU GOUVERNEMENT MAIS QUI LESERA ET PENALISERA LES CONSOMMATEURS QUI VERRONT LEURS FACTURES GONFLEES ET L'INFRACSTRUTURE DEFAILLANTE.
LE PRESIDENT DE LA G.O.C.
Le projet de loi sur GDF-Suez "aura beaucoup de difficultés à passer avec une large majorité", selon Dominique Paillé
AP | 16.08.06 | 16:58
PARIS (AP) -- Malgré le soutien déclaré du président de l'UMP Nicolas
Sarkozy, le projet de loi sur la fusion GDF-Suez "aura beaucoup de
difficultés à passer avec une large majorité" au Parlement, a estimé
mercredi le député sarkozyste Dominique Paillé.
Toujours
opposé au projet de privatisation de Gaz de France, M. Paillé envisage
désormais "peut-être à une abstention dans le meilleur des cas" lors du
vote. Mais son "positionnement sur l'intérêt même du projet ne changera
pas si le texte passe en dehors du 49.3", a-t-il affirmé sur
France-Info.
Longtemps soupçonné de chercher à torpiller le projet
de fusion en sous-main, Nicolas Sarkozy a affirmé publiquement mardi
soir son "accord" sur un projet destiné à "constituer un grand pôle
énergétique français". "Je suis président d'une famille politique et ce
n'est certainement pas à huit mois d'une échéance (électorale) qu'il
faut se diviser, donc ce sera le rassemblement", a-t-il dit sur
France-2.
"La position de Nicolas Sarkozy s'inscrit surtout, me
semble-t-il, dans une volonté d'apaisement et de ne pas faire de ce
sujet un champ de querelles au sein de la majorité", a estimé mercredi
M. Paillé. "C'est tout à fait louable et, venant du chef du parti
majoritaire, extrêmement responsable".
"Cela inclinera peut-être
ceux qui aujourd'hui sont dans le doute à se positionner", mais "ce
sera peut-être plus d'ailleurs par discipline politique qu'autre
chose", a-t-il ajouté.
Le projet de loi sur la privatisation de
Gaz de France doit être examiné par les parlementaires en session
extraordinaire à partir du 7 septembre, après avoir suscité en juin une
fronde inédite des députés UMP. AP