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Gauche ouvrière et chrétienne
16 août 2006

Beyrouth va déployer son armée au Liban sud dès jeudi

ENFIN,DEMAIN L'ARMEE LIBANAISE VA SE DEPLOYER AU SUD LIBAN ET PERMETTRE AINSI A LA FINUL DE FAIRE SON TRAVAIL A SES COTES.

NOUS ESPERONS TOUS QUE L'ARMME LIBANAISE DESARMERA LE HEZBOLLAH ,MEME S'IL ELLE DOIT METTRE PLUS DE TEMPS QUE NOUS OCCIDENTAUX LE SOUHAITONS MAIS POURVU QUE CELA SOIT FAIT.

NOUS PENSONS QUE L'ARMEE LIBANAISE APPLIQUERA CE QUE SON ETAT MAJOR ET LES RESPONSABLE DU LIBAN ONT DIT:QUE L'ARMEE LIBANAISE N'ACCEPTERAIT PAS D'ARMEE QU'ELLE QU'ELLE SOIT,DONC DU HEZBOLLAH QUI DEVRA SE REPLIER EN LAISSANT SES ARMES.

L'ARMEE LIBANAISE VA DONC FAIRE AVEC LA FINUL SONT ROLE DE DEFENSE DU TERRITOIRE NATIONAL ET D'EN MAINTENIR L'ORDRE CE SERA COMME CELA QUE LE LIBAN RETROUVERA SA SOUVERAINETE.

CE SOIR,LA MINISTRE DE LA DEFENSE FRANCAISE A INDIQUE QUE LA FRANCE PRENDRAIT LA DIRECTION DE LA FINUL JUSQU'EN FEVRIER 2007.

RASSEMBLER ET DEPLOYER TOUS LES SOLDATS DE CETTE NOUVELLE FINUL PTRENDRA DU TEMPS TOUT COMME LE TRAVAIL QU'ELLE DEVRA FAIRE AVEC L'ARMEE LIBANAISE.
MAINTENANT,IL FAUT QUE LA PAIX REVIENNE DANS CE PAYS ET QU'A LA LONGUE TOUS CES PAYS VOISINS SE REPARLENT.

IL FAUDRA AUSSI FAIRE EN SORTE QUE LA SYRIE ET L'IRAN N'AIENT PLUS DU TOUT L'INFLUENCE QU'ILS AVAIENT SUR LE LIBAN QUI ENCORE UNE FOIS DOIT RETROUVER SA SOUVERAINETE.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.


LEMONDE.FR | 16.08.06 | 19h59  •  Mis à jour le 16.08.06 | 20h01         

                                         

                                      

               
                  
                  





               
                  

"Le gouvernement a pris la décision de déployer l'armée demain [jeudi] dans quatre secteurs au sud du Litani, dans le massif d'Arqoub, Hasbaya (sud de la vallée de la Bekaa) et Marjayoun" (à 7 km de la frontière israélo-libanaise), a déclaré le porte-parole du gouvernement libanais, Ghazi Aridi. "Son rôle sera de défendre le territoire national, de maintenir l'ordre et d'interdire toute présence armée quelle qu'elle soit, à part celle de l'Etat", a-t-il poursuivi.

 

Selon  le porte-parole du gouvernement libanais, "il n'y aura pas de confrontation avec le Hezbollah". "Si une arme est trouvée, même nos frères du Hezbollah ont dit qu'ils laisseraient l'armée la saisir", a-t-il ajouté. "L'armée se déploie sur son territoire, pour la population, contre personne".

Le gouvernement libanais avait décidé le 7 août d'envoyer 15 000 hommes au sud du Litani pour reprendre le contrôle de la région frontalière. Cet engagement a permis ensuite l'adoption le 11 août de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU, prévoyant l'arrêt des hostilités qui avaient éclaté le 12 juillet, et le retrait de l'armée israélienne concomitant au déploiement de l'armée libanaise appuyée par une force de l'ONU.

D'après des sources militaires près de la frontière, l'armée israélienne devait remettre dès mercredi trois secteurs de la zone frontalière à la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). Celle-ci devrait à son tour remettre ces trois secteurs à l'armée libanaise dans les 24 heures. La résolution 1701 prévoit également le renforcement de la Finul, dont les effectifs devraient être portés de 2 000 à 15 000 hommes. La France a été pressentie pour prendre la tête de cette nouvelle force, mais Philippe Douste-Blazy a prévenu que Paris n'accepterait d'y participer que si l'armée libanaise était déployée.

UNE TÂCHE DIFFICILE

La Maison Blanche a dit attendre du gouvernement libanais qu'il veille au désarmement du Hezbollah, tout en en reconnaissant qu'il fallait "un peu de temps". "Ce sera au bout du compte (le) travail (des forces armées libanaises) de s'assurer que le Hezbollah est désarmé et n'opère plus en tant que milice indépendante", a déclaré devant la presse le porte-parole de la Maison Blanche, Tony Snow.

Entre les positions tenues par l'armée israélienne et les combattants du Hezbollah, la tâche de l'armée libanaise s'annonce difficile. Cette armée, qui compte 60 000 hommes, ressemble plus à une force de maintien de la paix qu'à un instrument offensif. Mal équipée, peu encadrée, elle a dû faire appel à des aides extérieures pour pouvoir assurer sa présence au Sud. "Le gouvernement libanais a demandé à des pays arabes, comme l'Arabie saoudite et d'autres pays amis dont la France, de fournir d'urgence à l'armée des équipements pour faciliter sa mobilité et lui permettre de s'imposer", a indiqué une source ministérielle qui a requis l'anonyymat.

L'utilisation de l'armée, qui avait éclaté au début de la guerre civile (1975-1990) en raison des tensions intercommunautaires, a toujours été un sujet politiquement délicat, qui a souvent ravivé les tensions intercommunautaires. Absente du conflit qui a opposé le Hezbollah aux forces israéliennes, l'armée a payé un lourd tribut en vies humaines : 29 militaires et gendarmes libanais ont été tués et 81 autres blessés dans les raids aériens israéliens contre ses positions.

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