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Gauche ouvrière et chrétienne
26 juillet 2006

A Perpignan, M. Fabius convoque Jean Jaurès pour marquer sa différence

OUI?IL FAUT UN CHANGEMENT POLITIQUE A GAUCHE AVEC UN VRAI PROGRAMME DE GAUCHE,LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE NE CESSE DE LE DIRE ET DE LE RAPPELER.

IL FAUT UN CANDIDAT QUI SOIT CAPABLE SUR UN VRAI PROGRAMME DE GAUCHE QUI SOIT CAPABLE DE RASSEMBLER TOUTE LA GAUCHE QUI S'EN VA EN ORDRE DISPERSE ET CE QUI N'EST PAS FORCEMENT BON POUR LE PEUPLE DE GAUCHE ET CEUX QUI VEULENT LUI FAIRE CONFIANCE.

COMME LA G    AUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE L'A  SOUVENT DIS CE N'EST PAS UN CANDIDAT,OU UNE CANDIDATE, QUI A LA VOLONTE DE SE MARQUER AU CENTRE QUI POURRA FAIRE CE RASSEMBLEMENT DE LA GAUCHE POUR 2007 PUISQU4IL ,OU ELLE,N'AURA PAS UN PROGRAMME DE GAUCHE.

CAR,LE CANDIDAT OU LA CANDIDATE QUI VEUT RASSEMBLER LA GAUCHE ET QUI AURAIT UN PROGRAMME CENTRISTE FERA CROIRE QUE LA GAUCHE ET LA GROITE C'EST LA MEME CHOSE CE QUI EST SOUVENT LE CAS ,MALHEUREUSEMENT,DEPUIS PLUSIEURS ANNEES.

IL FAUT DONC ABSOLUMENT POUR 2007 ,UN CANDIDAT QUI EST UN VRAI PROGRAMME DE GAUCHE.
ET IL EST AUSSI BON DE RAPPELER QUE SOUVENT CELUI OU CELLE QUI EST EN TETE DES SONDAGES UN AN OU PLUS D'UN AN AVANT L'ELECTION QUI EST ELU.

IL NE SERAIT PAS ETONNANT QUE CERTAINES PERSONNALITE DE TENDANCE HOLLANDE-ROYAL  ESSAYERAIENT DE FAUSSER LE VOTE INTERNE DU PS POUR NOMMER LE CANDIDAT POUR 2007,IL EST DONC NECESSAIRE QU'IL N'Y EST AUCUNE AMBIGUITE ET LANG AVAIT BIEN DIS QU'IL CRAIGNAIT DES DISSIDENCES DANS LE PS S'IL Y AVAIT DE TELLES MAGOUILLES.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.

A Perpignan, M. Fabius convoque Jean Jaurès pour marquer sa différence avec Ségolène Royal
         

LE MONDE | 25.07.06 | 15h15  •  Mis à jour le 25.07.06 | 15h15         

PERPIGNAN ENVOYÉ SPÉCIAL                                                                                

               
                  

                  











               
                  

Chaque année, la commune de Millas, fief de Christian Bourquin, président socialiste du conseil général des Pyrénées-Orientales, célèbre l'anniversaire de l'assassinat de Jean Jaurès. Un millier d'habitants, d'élus et de militants du département défilent dans les rues, au son de l'Internationale derrière la fanfare des Canaillous, avant de se recueillir devant la stèle du leader historique puis de partager un repas sous les platanes.

 

Invité, lundi 24 juillet, par les dirigeants d'une fédération qui lui est tout acquise, Laurent Fabius s'est laissé porter par la vague lyrique d'un hommage à Jaurès, "défenseur du peuple qui, le premier, a réussi à rassembler toute la gauche, qui était encore plus divisée qu'aujourd'hui". Et, dans la foulée, il s'est posé en "héritier" d'une histoire incarnée par Léon Blum, Pierre Mendès France et François Mitterrand, qui ont réconcilié "le socialisme avec la démocratie, le pouvoir et la durée".

D'Argelès à Perpignan, puis à Millas, M. Fabius, candidat à l'investiture du PS pour l'élection présidentielle de 2007, n'a cessé de répéter la conviction sur laquelle il a bâti sa stratégie de campagne : "Les Français attendent un changement majeur. Nous avons besoin que la gauche soit rassemblée sur la base d'un programme, (...) d'une ligne, de valeurs, et d'alliances clairement de gauche."

Sans jamais les citer, M. Fabius s'en est pris à ces candidats qui tentent d'"atténuer", voire de "travestir" le projet du PS pour 2007 que lui se fait fort d'"enrichir". Et, là aussi en évitant toute référence directe, il a rejeté "cette gauche qui serait tellement du centre qu'on finirait par croire qu'elle est de droite".

Bien qu'il ne se soit pas fixé un calendrier de visites pour l'été en dehors de quelques déplacements amicaux, M. Fabius est pressé d'engager le débat "programme contre programme" avec les autres prétendants et refuse de se référer à "Sainte Sofres ou Sainte Ifop" pour connaître l'avis des militants.

De même, il s'est abstenu de se prononcer sur le ralliement d'Arnaud Montebourg à la candidature de Ségolène Royal. "Le choix doit intervenir sur des bases politiques et non sur des études d'opinion qui n'ont aucune valeur prédictive", assure-t-il, tout en peaufinant l'angle qu'il s'est choisi, celui de principale alternative à gauche à Mme Royal au sein du parti.

Pendant ce temps, ses proches maintiennent la pression sur François Hollande. Dans une lettre envoyée lundi 24 juillet, le député de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone s'est ému des modalités de vote des nouveaux adhérents, à 20 euros, en disant craindre une "fraude massive". Pourtant, M. Fabius reste optimiste. Devant les militants, il a fait le serment de mener "une marée humaine de la gauche rassemblée au sommet du Canigou", s'il est élu, bien entendu. Autant que la difficulté de l'exercice, les conditions à réunir avant cette élection rendent sa promesse aléatoire.

Michel Delberghe

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