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Gauche ouvrière et chrétienne
20 mai 2006

Gilles de Robien à l'écoute des parents d'élèves de l'école privée

QUE LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT RENCONTRE LES PARENTS D'ELEVES DU PRIVE CELA EST NORMAL.

TOUT COMME EST LOGIQUE QUE LES ECOLES PRIVES,SOUS CONTRAT AVEC L'ETAT,SOIENT AIDES PAR LE GOUVERNEMENT,LES REGIONS ,DEPARTEMENTS ET POURQUOI PAS COMMUNES.

IL EST NORMAL QUE DANS UN ETAT DE LIBERTE QUE CE SOIT POUR L'ENSEIGNEMENT OU LA RELIGION QUE LES PARENTS PUISSENT CHOISIR L'ECOLE OU ILS SOUHAITENT METTRE LEURS ENFANTS SANS POUR CELA QU'ILS SOIENT PENALISES.

IL EST BIEN FINI LE TEMPS OU LES ECOLES PRIVES ETAIENT RSERVES A UNE CERTAINE CATHEGORIE DE CITOYENS.

EN SIGNANT UN CONTRAT AVEC L'ETAT LES ECOLES PRIVES SE SONT ENGAGES A PRENDRE LES ENFANTS DE TOUTES CATHEGORIE DE LA SOCIETE ET DE NE PAS ENSEIGNER LA RELIGION .

DONC,IL EST TOUT A FAIT NORMAL QUE CES ECOLES SOIENT AIDES ET IL N'Y A PAS MOYENS A RALLUMER LA GUERRE ENTRE ECOLE PRIVE ET PUBLIC.

LES ECOLES PRIVES ET PUBLICS SE FONT UNE SAINE CONCURRENCE ET CELA UNIQUEMENT POUR LE BIEN DES ELEVES.

ILS SERAIENT BON QUE LES POLITIQUES ET LES PARENTS DE TOUT BORD TIENNENT COMPTENT DE L'INTERET DES ENFANTS QU'ILS SOIENT DANS LE PRIVE ET LE PUBLIC ET QUE CES PERSONNES AIENT L'ESPRIT UN PEU PLUS OUVERT ET QU'ILS NE PORTENT PLUS DES OEILLERES.

LES ECOLES PUBLICS ET PRIVES ONT TOUTES LES DEUX LES MEMES INTERETS ET LE MEME ENSEIGNEMENT .

DONC LE FAIT QUE DES PARENTS METTENT LEURS ENFANTS DANS LE PRIVE OU LE PUBLIC CELA EST LEUR CHOIX QUI DOIT ETRE RESPECTE ET QUI NE DOIT TROUVER AUCUN BARRAGE PAR DES MAIRES,DES DEPUTES QUI SONT ELUS PAR DES CITOYENS QUI ONT LEURS ENFANTS DANS LE PRIVE ET LE PUBLIC,CES ELUS DEVRAIENT BIEN EN TENIR COMPTE.


Marie-Estelle Pech

   

20 mai 2006, (Rubrique France)


   

 

Le ministre de l'Éducation nationale se rend,  ce week-end, au congrès de l'Unapel. Du jamais-vu depuis près de trente ans.

 

Depuis son arrivée rue de Grenelle, le ministre de l'Education (ici à Amiens le 5 mai) multiplie les gestes en direction du privé. Cameleon/Abacapress.<BR/>

 

GILLES DE ROBIEN devrait se rendre dimanche à Nantes au congrès des parents d'élèves de l'enseignement libre (Unapel). Ce déplacement n'est pas anodin puisque c'est la première fois depuis 1979, avec René Monory, qu'un ministre de l'Éducation nationale participe à un congrès des parents de l'enseignement privé.

 

Depuis son arrivée rue de Grenelle, Gilles de Robien multiplie les gestes en direction du privé. En septembre dernier, sa visite dans un établissement catholique de Cholet avait fait grand bruit dans le Landernau éducatif. Peu après, le ministre avait affirmé qu'il fallait assurer l'«égalité de moyens» entre le public et le privé afin que le «choix [des parents] puisse s'exercer». Des propos qui avaient soulevé l'indignation des syndicats.

 

Sa venue à Nantes ne devrait cependant pas entraîner d'annonces particulières, selon son entourage. Elle s'inscrit dans le cadre des rencontres «habituelles» entre les différentes associations de parents d'élèves et le ministère, ajoute-t-on. Tout le week-end, le congrès de l'Unapel doit plancher sur le thème des «attentes éducatives et projets d'établissement». Mais il sera sans doute aussi question du succès de l'enseignement privé qui refuse des milliers de candidatures à chaque rentrée scolaire depuis quelques années.

 

Un enseignement qui séduit

 

Cette réussite s'est accompagnée d'une écoute politique attentive depuis 2002. «Très nettement, depuis l'arrivée de Jean-Pierre Raffarin à Matignon, il y a une association systématique de l'enseignement privé dans les décisions», se félicite Eric Raffin, le président sortant de l'Unapel. Selon lui, c'est «la meilleure façon d'éteindre toute velléité de guerre scolaire».

 

L'enseignement privé a «politiquement beaucoup progressé ces dernières années», poursuit-il. Une allusion à la loi Censi sur la revalorisation des retraites des maîtres du privé et au texte sur le «forfait communal». Cette disposition législative, qui suscite les réserves de nombreux élus, fait obligation aux communes de résidence de participer aux frais de scolarisation des élèves fréquentant des écoles privées sous contrat hors de leur territoire. Après quatre ans de mandat à la tête de l'Unapel, Éric Raffin a décidé de passer la main lors de ce congrès. Il sera remplacé par Véronique Gass, élue hier. Chirurgien-dentiste à Strasbourg, mère de deux enfants, elle souhaite poser l'Unapel comme un «veilleur de liberté».

 

Dans la foulée, les deux principales organisations de parents d'élèves de l'enseignement public, la FCPE et la PEEP, changeront également de présidents lors de leurs congrès respectifs. Georges Dupont-Lahitte ne se représentera pas à la tête de la FCPE. De même, Josette Daniel, très contestée lors du congrès de l'an dernier, laissera son siège à la tête de la PEEP.

 

 

 

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