REMANIEMENT?MAIS LEQUEL?

DES DEPUTES UMP DEMANDENT UN REMANIEMENT CAR DIT IL :IL N'EST PAS POSSIBLE DE GOUVERNER AVEC DES PERSONNES QUI S'EN VEULENT A CE POINT.

MAIS ,COMME CHIRAC ET DEVILLEPIN SONT TOTALEMENT MOUILLES DANS CETTRE AFFAIRE SANS OUBLIER SARKOSY ET ALLIOT MARIE,CE N'EST PAS UN REMANIEMENT QU'IL FAUT C'EST UN CHANGEMENT COMPLET DE TOUTES LES TETES QUI DIRIGENT LA FRANCE AVEC LES DEPUTES.

CE SONT DONC DES ELCTIONS PRESIDENTIELLES ET LEGISLATIVES AVANCEES.

CHIRAC MENT,MANIPULE ET MAGOUILLE ;MAIS,DE VILLEPIN ET SARKOSY EN FONT AUTANT.

SARKOSY NIE QU'IL ETAIT AU COURANT DE L'AFFAIRE.

ILS SONT TOUS A METTRE DANS LE"MEME PANIER DE CRABES".

SARKOSY NE VEUT PAS ENCORE DEMISSIONNER CAR IL AURAIT DES PROJETS DE LOI A FAIRE PASSER?
CELA N'EST CERTAINEMENT QU'UNE DIVERSION ET UN ACCORD AVEC CHIRAC.

L'UMP PENSE QUE DE VILLEPIN EST FOUTU POUR 2007 ,NOUS AUSSI.

MAIS,NOUS PENSONS QUE CHIRAC LE POUSSERA A SE PRESENTER POUR CONTRE CARRER SARKOSY,OU ALORS IL LE FERA EN CATIMINI.

SI SARKOSY NE QUITTE PAS ENCORE LE GOUVERNEMENT C'EST AUSSI QU ' IL N'EST PAS SUR DE LUI.
SES AMIIS DEVRAIENT PLUS TOT LUI CONSEILLER D'ARRETER D'ALIMENTER LES EXTREMES DROITES,ILS DEVRAIENT SE RAPPELER DE 2002.

LES FRANCAIS ,A LA LECTURE DE TOUT CE QUI CONCERNE NOS GOUVERNANTS ET CEUX DES MINISTRES QUI ESSAYENT QUE LA JUSTICE LES OUBLIE ,DOIVENT ETRE SUR QUE SI C'EST UN DE DROITE QUI DEVENAIT PRESIDENT NON SEULEMENT IL GOUVERNERAIT COMME NOS ACTUELS DIRIGEANTS ET QU'IL FERAIT TOUT POUR QUE LA JUSTICE CLASSE CETTE AFFAIRE.

DONC,EN PRENANT UN VRAI CANDIDAT DE GAUCHE CREANT UNE NOUVELLE REPUBLIQUE,ILS SERONT SUR D'ETRE MIEUX GOUVERNES ET QUE CETTE LAMENTABLE AFFAIRE NE RESTERAIT PAS SANS SUITE.




Des appels à l'UMP
pour un remaniement

NOUVELOBS.COM | 12.05.06 | 10:54

Alors que Dupont-Aignan réclame un gouvernement où les "têtes" s'entendent, Aeschlimann conseille à Sarkozy de quitter le navire.

Le gouvernement Villepin (AP)

D es voix divergentes s'élèvent à droite appelant à des changements au gouvernement. Alors que le député UMP de l'Essonne Nicolas Dupont-Aignan réclame un gouvernement où les têtes s'entendent, le député des Hauts-de-Seine Manuel Aeschlimann estime le moment venu pour Nicolas Sarkozy pour quitter l gouvernement.
Nicolas Dupont-Aignan a jugé que Jacques Chirac "exerce son mandat de façon assez pittoresque" et a souhaité qu'"il s'adresse aux Français". "Au-delà même de l'affaire Clearstream, il serait utile de former un gouvernement où les principales têtes s'entendent", a-t-il dit sur RFI.
Selon le président du club Debout la République, "le gouvernement est extrêmement affaibli par une succession de manœuvres, par un climat épouvantable". "On ne peut pas avoir un gouvernement où les principales têtes se haïssent à ce point", a-t-il estimé, en faisant allusion à la rivalité Villepin-Sarkozy.

"Le moment est venu"

De son côté, Manuel Aeschlimann, député UMP des Hauts-de-Seine proche de Nicolas Sarkozy, a estimé sur Europe 1 "le moment venu" pour le ministre de l'Intérieur de quitter le gouvernement. "D'un point de vue purement stratégique, maintenant, il peut partir.

Ce n'était pas le cas il y a quelques mois", a-t-il déclaré. Selon Manuel Aeschlimann, "maintenant la voie est libre" pour la présidentielle, "il ne reste que Nicolas Sarkozy". Le président de l'UMP "peut prendre ses distances avec ce gouvernement", "maintenant le moment est venu", a-t-il dit.
Le député-maire d'Asnières a toutefois ajouté que le Nicolas Sarkozy hésitait à quitter le gouvernement, car "il aime l'action et il a des projets de loi à faire passer".

Des "contacts" entre Rondot et l'Elysée

NOUVELOBS.COM | 12.05.06 | 11:30

Selon le journaliste Stéphane Denis, des contacts auraient eu lieu "ces derniers jours".

Le journaliste Stéphane Denis, confident du général Philippe Rondot, a confirmé, vendredi 12 mai, qu'il y a eu "un contact" entre l'Elysée et le militaire "ces derniers jours" dans le cadre de l'affaire Clearstream.
"Ce n'est pas à moi de le dire", mais "il y a eu un contact entre l'Elysée et le général Rondot ces derniers jours", a déclaré Stéphane Denis sur RTL, confirmant une information du Point.
Revenant sur les faits qu'il a révélés dans l'hebdomadaire, le journaliste a répété qu'il avait bien "eu un aparté très précis" avec le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy et l'avait prévenu de l'affaire. Ce que ce dernier dément.

L'identité du corbeau

D'autre part, l'enquête commandée à la DST par le Premier ministre Dominique de Villepin au cours de l'été 2004, si les cinq notes classifiées en possession du ministre de l'Intérieur sont déclassifiées, "révèle l'identité du corbeau", a-t-il précisé.
"Dominique de Villepin voulait faire tomber Nicolas Sarkozy", a souligné Stéphane Denis. Le général Rondot avait la "certitude que le Premier ministre allait trop loin". AP