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Gauche ouvrière et chrétienne
27 mars 2006

ALLEMAGNE

QUAND ON SAIT QUE MERKEL :PRONE UN RAPPROCHEMENT AVEC LES USA ET QU'ELLE EST LIBERALE ,PROCHE DE BLAIR
LE FAIT QU'ELLE SORT RENFORCEE DES ELECTIONNS DE CE DIMANCHE ,POUR LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE PENSE QUE CELA N'EST PAS BON POUR LES ALLEMANDS VU LES PROBLEMES DE CHOMAGES,DE SALAIRES ET D'EMPLOIS QU'ILS ONT EUX AUSSI ET CE N'EST PAS BON POUR L'UE CAR ELLE VA VOULOIR LIBERALISER ENCORE PLUS SON PAYS ET VOULOIR AVEC LES ANGLA2IS QUE D'AUTRES PAYS,DONT LA FRANCE,S'OUVRE DAVANTAGE AU LIBERALISME TOUT EN SACHANT QUE NOUS AVIONS DIT NON MAJORITAIREMENT
ET SI ,NOUS AVONS LE CPE ELLE VA POUVOIR PLUS FACILEMENT LE FAIRE PASSER EN ALLEMAGNE
IL FAUT DONC QUE POUR NOUS ET POUR L'UE QUE DE VILLEPIN NE PUISSE PAS FAIRE PASSER LE CPE MAIS QU'IL SOIT OBLIGE DE LE RETIRER



Angela Merkel
sort renforcée

NOUVELOBS.COM | 27.03.06

La "grande coalition" de la chancelière allemande a remporté deux Länders sur trois aux élections locales.

L a "grande coalition" de la chancelière allemande Angela Merkel est sortie renforcée des élections locales organisées dimanche 26 mars dans trois Lander, les conservateurs de la CDU l'emportant au Bade-Wurtemberg (sud-ouest) et en Saxe-Anhalt (est), tandis que les sociaux-démocrates du SPD s'imposaient largement en Rhénanie-Palatinat (ouest), selon les premiers résultats partiels.
Ces scrutins, auxquels s'ajoutaient des élections municipales dans le Land de Hesse (centre-ouest), constituaient pour Mme Merkel le premier test électoral depuis son arrivée aux affaires en novembre, à la tête d'une coalition réunissant les deux principaux partis du pays.
Les premiers résultats et les sondages sortie des urnes des chaînes publiques ARD et ZDF confirmaient par ailleurs la déconfiture des libéraux-démocrates du FDP, membres des trois coalitions régionales sortantes. Le recul de la première force d'opposition était particulièrement sensible en Saxe-Anhalt, ce qui n'était pas sans conséquence sur l'équilibre au Bundesrat, la chambre haute du Parlement, où sont représentés les Lander. La majorité CDU-SPD s'en trouvait en effet renforcée.

"Un bon jour"

"C'est un bon jour pour la grande coalition et pour Mme Merkel", a réagi le chrétien démocrate Bernhard Vogel, interrogé par l'ARD. "Il n'y a plus de réels obstacles dès lors que les principaux partis s'entendent."
Devenus partenaires de raison au sein de la "grande coalition" au pouvoir à Berlin, la CDU et le SPD ont évité de mener une campagne en rivalité frontale dans les trois Lander en jeu. Avant les difficiles négociations qui les attendent lundi dans le domaine de la santé, ils ont préféré échanger des arguments polis sur des sujets comme l'éducation, l'immigration et le retour de la croissance économique.
Les premiers chiffres officiels faisaient du reste état d'une participation modeste.
"Ce sont d'étranges élections", a commenté Rainer Bruderle, haut responsable du FDP, grand perdant de ces scrutins. "Les deux composantes de la grande coalition se sont stabilisées."
La cote de popularité record de la chancelière a joué en faveur de la CDU qui progresse légèrement dans les trois Lander. En revanche, le SPD recule fortement au Bade-Wurtemberg, reste stable en Saxe-Anhalt et ne tire son épingle du jeu qu'en Rhénanie-Palatinat.

Platzeck minimise

Selon les projections de l'ARD, les chrétiens-démocrates obtenaient 44,2% des suffrages au Bade-Wurtemberg, le plus grand des trois Lander, contre 25% au SPD et seulement 11% au FDP. L'absence de majorité absolue de la CDU semblait cependant permettre aux libéraux de rester au gouvernement régional.
En Saxe-Anhalt, Land de l'ex-RDA où le taux de chômage dépasse les 20%, la CDU recueillait 36% des voix, devant le Parti de gauche (24%) -nouvelle formation regroupant les ex-communistes est-allemands et les déçus sociaux-démocrates- et le SPD (20,5%), le FDP n'étant crédité que de 7% des suffrages.
Le SPD l'emportait pour sa part en Rhénanie-Palatinat, l'un des cinq Lander sur seize qu'il contrôle encore, avec 45,6% des voix, ce qui semblait lui permettre de gouverner seul dans ce Land pour la première fois.
Matthias Platzeck, président du SPD, a tenté de minimiser le résultat contrasté de son parti et son possible affaiblissement au niveau national en se félicitant de l'absence de percée du Parti de gauche. "C'est le signe que les sociaux-démocrates sont le principal parti de centre-gauche et le resteront", a-t-il observé. AP

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