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Gauche ouvrière et chrétienne
22 mars 2006

LES SARKOSYSTES VONT ILS LACHER DE VILLEPIN?

D'APRES CE QUE L'ON COMPRENDS L'INTERVENTION DE LA SARKOSYSTE NADINE MORANO ,LES SARKOSYSTES NE SONT PAS LOIN DE LACHER DE VILLEPIN ET CEUX QUI LE SOUTIENNENT

NADINE MORANO NE DIT,NE REPRENDS QUE CE QUE LES SYNDICALISTES,LES JEUNES ,LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE ET AUSSI LES PARTIS DE GAUCHE ONT DEJA DIT:PRENDRE LE TEMPS DE DIALOGUER ,RETRAIT DU CPE;CAR,LE DIALOGUE AURAIT DU SE FAIRE AVANT ET MAINTENANT IL N'EST POSSIBLE QU'AVEC SON RETRAIT
ON NE PEUT GOUVERNER CONTRE LE PEUPLE
SAVOIR RECONNAITRE QUE L'ON A FAIT UNE ERREUR

LES ANTI CPE PEUVENT ET DOIVENT CONTINUER LEUR LUTTE CONTRE LE CPE.LEUR TENACITE,LEUR VOLONTE DE GARANTIR LEUR AVENIR ET REFUSER LA PRECARITE COMMENCE A PORTER SES FRUITS




mercredi 22 mars 2006, 11h40
CPE: "il faut sortir de cette rigidité" pour Nadine Morano

PARIS (AP) - La députée UMP de Meurthe-et-Moselle Nadine Morano estime mercredi qu"'il faut qu'on sorte de cette rigidité" sur le CPE et qu'"il faut prendre le temps du dialogue social".

"On est complètement dans l'irrationnel aujourd'hui", déplore la députée sarkozyste dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". "On ne peut pas gouverner contre un peuple".

Pour Nadine Morano, "il faut avoir l'humilité de dire: si mon texte est mal compris, je dois mieux expliquer et faire une pause". "Dominique de Villepin a pris le temps du débat parlementaire mais a négligé la case du dialogue social", avance-t-elle.

"Il a souhaité, dans le cadre de sa méthode, discuter après. On s'aperçoit que malheureusement les choses sont plus compliquées", ajoute Nadine Morano.

Et de lancer: "il y a eu une erreur de méthode et de gouvernance".

Sur le dossier du CPE, Nicolas Sarkozy "a assumé son rôle à la fois de ministre de l'Intérieur et celui de président du parti majoritaire: il a été solidaire et il a donné des propositions", note la députée de Meurthe-et-Moselle. "Il faut voir maintenant ce que le Premier ministre en fera".

"En tout cas, Nicolas Sarkozy, garant de la majorité, a aussi son analyse d'homme politique averti. Sans doute les exprimera-t-il", précise Mme Morano. "On ne perd rien à dialoguer et à entendre les idées des autres".

ljg/sb

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