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Gauche ouvrière et chrétienne
14 janvier 2006

APRES LES AFFAIRES DE PARIS VOILA QUE CHIRAC FAVORISE UN SEUL DEPARTEMENT

Chirac peut appeller les français a l'optimistes quand il favorise les patrons,quand il leur donne le droit de licencier a tour de bras,meme quand il font des benefices ou quand il lles encourages a mettre les salariers en precarite(avec notamment leurs fameux contrats cne et autres)quand il autorise les employeurs a garder en cdd pendant pres de deux ans les salariers avant de les titulariser ou de les licencier;Chirac peut appeler les français a l'optimisme quand il ne respecte pas le non de referendum et laisse l'ue appliquer cette constitution,et quand les français ne croivent pas aux creations d'emplois et qu'ils ne voyent pas leur salaire augmenter
Chirac ,avant de quitter le pouvoir,favorise la correze pour lui trouver des createurs d'emplois;mais ,il oublie qu'il y a d'autres regions comme la correze qui attendent que le gouvernement les aide;mais,celà sera pour la saint glinglin


Jacques Chirac appelle à l'optimisme et gâte les Corréziens

JACQUES CHIRAC ENCOURAGE LES FRANÇAIS À ÊTRE OPTIMISTES
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PARIS (Reuters) - Le président Jacques Chirac a appelé les Français à l'optimisme et au patriotisme dans ses traditionnels voeux aux habitants de la Corrèze, département où il a commencé sa carrière politique dans les années 1960.

"La vérité, c'est que les choses bougent. La vérité, c'est que nous avons des atouts considérables. La vérité, c'est que nous nous sommes donnés tous les moyens de réussir en, en priorité, face au chômage", a-t-il dit, en concluant deux semaines de cérémonies de voeux.

Le vote négatif au référendum sur le traité constitutionnel européen et les violences dans les banlieues traduisent pour le chef de l'Etat "des interrogations, des difficultés, des tensions", mais il s'est dit "déterminé à y répondre" et a appelé au "patriotisme".

"Maintenant, il faut aussi y croire, il faut se battre, il faut tourner le dos à cette tentation aussi stérile que paralysante à l'autoflagellation. Il faut être fiers de ce que nous sommes, de la France, de la République", a-t-il dit.

Il a confirmé le projet controversé de réformer le régime des cotisations patronales dans le but de favoriser l'emploi en France et promis que le gouvernement présenterait cette semaine des mesures "fortes et importantes" contre le chômage des jeunes.

"L'année 2006 ne sera pas une année préélectorale perdue pour l'action, et donc pour la France", a-t-il conclu.

PROMESSES AUX CORREZIENS

Selon les sondages, seul un pour cent des Français souhaite voir Jacques Chirac briguer un troisième mandat, ce qui a affaibli l'hypothèse d'une cinquième candidature consécutive de Jacques Chirac en 26 ans à la fonction suprême.

Le président a multiplié les annonces en faveur de la Corrèze, son ancien fief électoral où son épouse Bernadette, qui l'accompagnait lors de cette cérémonie, est toujours conseillère générale.

"Je connais la situation difficile du bassin d'emploi d'Ussel (...). J'ai demandé au Premier ministre que des mesures adaptées soient rapidement prises soient rapidement prises pour redynamiser ce territoire auquel je suis particulièrement attaché", a-t-il expliqué.

Il a annoncé qu'un comité interministériel se réunirait prochainement pour mettre au point un "contrat de site adapté à la Haute-Corrèze".

Un centre "Défense deuxième chance", qui accueillera 250 jeunes volontaires en situation d'échec scolaire, sera opérationnel au début de 2007. Une Maison de l'emploi et de la formation ouvrira cette année à Ussel, a-t-il dit.

Le chef de l'Etat a aussi annoncé avoir "demandé au Premier ministre que le projet de ligne (ferroviaire) à grande vitesse, qui doit mettre Limoges et Brive respectivement à deux et trois heures de Paris, "soit inscrit sur la carte des infrastructures ferroviaires nationales".

Il s'est enfin félicité de la mise en service cette semaine de deux tronçons de l'autoroute A89 reliant la Corrèze à Bordeaux et Clermont-Ferrand. Ce projet, a souligné Jacques Chirac, avait été initié en 1987 lorsqu'il était Premier ministre.

La gauche a ouvert une brèche dans le fief électoral du président en 2001 en enlevant notamment la mairie de Tulle, dirigée actuellement par le premier secrétaire du PS, François Hollande, présent à la cérémonie.

 

 

 

 

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