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Gauche ouvrière et chrétienne
8 janvier 2006

BRETON A LA MEMOIRE VRAIMENT COURTE

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE  se permet de rappeler à Thierry Breton :que les français ne croivent pas du tout à la baisse du chomage et à la reprise du travail;que c'est la gauche,sous jospin, qui a cree plus d'emploi et a diminue le trou de la securite sociale et le deficit de la france
Breton a vraiment la memoire courte ou alors soit il est sourd ,soit il ne sait pas lire:les français ont dis que Mitterrand est le meilleur president sous la 5eme republique et qu'il avait fait bienn plus que la droite;Breton ne sait ,comme ses amis s'en prendre qu'aux fonctionnaires(il est vrai que c'est lui qui a privatise france telecom et l'on voit comme cette societe fonctionne:bien mal) mais:si les patrons n'avaient pas autant d'avantages fiscaux,si les patrons remboursaient leurs dettes a la securite sociale(plusieurs milliards)la france ne serait pas temps en deficit
alors,LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE demande a Thierry Breton d'etre moins fanfaron ,sur de lui et d'etre bien plus modeste;car,quand il aura fait pour la france autant que Mitterrand là il pourra parler





Thierry Breton confirme son objectif d'une croissance de 2 à 2,5% en 2006

   

            

Le ministre des Finances Thierry Breton a réaffirmé dimanche qu'il attendait pour la France "une croissance de 2% à 2,5%" en 2006, "comme l'ensemble des économistes" lors d'une interview sur Europe 1.

            

Il a aussi réaffirmé que les déficits publics de la France "respecteront" en 2005 et 2006 le seuil de "3%" du produit intérieur brut (PIB) fixé par le Pacte de stabilité européen.

            

Mais "je ne suis pas content "de cette croissance, "la France peut faire mieux" que sa "croissance structurelle qui est aujourd'hui de 2,25%", a commenté M. Breton, interrogé sur le rythme de la croissance mondiale qui atteint lui 4,5%.

            

Il s'est en revanche félicité des "huit mois consécutifs de baisse du chômage" et d'une année 2005 qui a été selon lui "une très bonne année de consommation", ajoutant : "Ca va continuer".

            

"Il nous faut libérer la croissance, car c'est l'élément indispensable pour notre modèle social", a-t-il ajouté.

            

Il a par ailleurs prôné le développement de "l'économie du savoir et de l'immatériel" qui "emploie déjà 35% des Français", a-t-il dit, contre 20% pour l'industrie, 10% pour l'agriculture et 25% pour les "services aux autres".

            

Martelant que la France doit "entrer dans la modernité", il a aussi regretté que a France ait "trop d'épargne", un "mal français " qui ne contribue pas assez au développement de l'économie, et notamment dans les PME innovantes.

            

Il a par ailleurs estimé, toujours au nom de la modernité, qu'il "ne serait pas idiot" de faire davantage de phases de soldes dans l'année, puisque les collections de prêt-à-porter se sont multipliées.

            

Le ministre a d'autre part longuement expliqué que selon lui la "boule de neige de la dette" avait commencé à se former sous les septennats du président François Mitterrand, accusant notamment diverses mesures qu'avait prises la gauche comme les nationalisations de 1981, la limitation de l'âge de la retraite à 60 ans et l'embauche de 330.000 fonctionnaires supplémentaires.

            

Mais la droite aussi a commis "des erreurs", a-t-il dit, "par exemple on a déplafonné l'Impôt sur la fortune, et des dizaines de milliers de Français ont quitté le territoire avec leur argent et leur esprit d'entreprise".

            

Toutefois, avec la mesure récente limitant à 60% des revenus le montant global des impôts, "il y a des gens qui vont revenir, c'est bon pour l'économie", a-t-il commenté.

         

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