Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Gauche ouvrière et chrétienne
13 décembre 2005

LE MEDEF CHOQUE

Le gouvernement a oublie de consulte le medef avant de proposer et de lancer le contrat de transition professionnel;mais,celà n'empechera pas le medef de vouloir,a tout prix,faire payer les chomeurs pour redresser l'unedic
le fait qu'aucun partenaire sociaux(syndicats,medef)n'ait ete consulte avant le lancement du fameux contrat de transition professionnel,prouve que le gouvernemment ne veut que maintenir le taux du chomage au niveau du chomage par des mesurettes et cela avant les elections et qu'il ne veut pas augmenter les salaires et faire clapoter toutes ententes que pourraient y avoir entre syndicats et le mefef dans l'interet des salariers,des chomeurs



Contrat de transition professionnelle: le Medef "très choqué"

   

            

Laurence Parisot a indiqué que le Medef avait était "très choqué" par le lancement du contrat de transition professionnelle par Dominique de Villepin, estimant que cette annonce interférait sans concertation dans le dialogue entre partenaires sociaux, mardi lors de son point de presse mensuel.

            

"Nous avons été très choqués de cette annonce hier", a déclaré Mme Parisot qui a fait valoir l'interférence avec le dialogue entre partenaires sociaux: "nous aboutissons à un accord sur la Convention de Reclassement Personnalisé (CRP) au mois de juillet et tout d'un coup, sans que le gouvernement en ait parlé aux partenaires sociaux, on nous annonce une nouvelle forme de contrat et on nous dit qu'il va être financé par l'Unedic, alors que nous sommes en pleine négociation sur le financement de l'Unedic", s'est étonnée la présidente du Medef.

            

Alors qu'une nouvelle séance de négociation sur l'assurance chômage doit avoir lieu mardi, Mme Parisot a indiqué que le Medef souhaitait un accord "sur trois ans", qui privilégie l'effort en vue d'un retour à l'équilibre financier "dans un délai raisonnable parce que nous sommes responsables d'un système d'assurance".

            

Elle a ainsi récusé un "accord a minima" provisoire qui interviendrait avant une nouvelle négociation sur l'avenir du système.

            

Enfin la présidente du Medef a fait savoir que la première organisation patronale n'accepterait de débattre d'une évaluation des allègements de charges des entreprises, voulue par le gouvernement, qu'à la condition que celui-ci "accepte un dispositif garantissant l'indépendance de la fixation du Smic", en dehors de toute décision inspirée par des motifs politiques.

         

Publicité
Commentaires
Publicité