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Gauche ouvrière et chrétienne
22 mai 2008

Retraites : Parisot prône des départs à 63,5 ans

Laurence Parisot  veut que les départs à la retraite soità 63,5ans  mis plus les jours et les mois passent et plus la demande de départ à la retraite ,faite par le MEDEF, augmente  car après 62ans ,maintenant c'est plus de 63 ans et demain ,Parisot demandera que ce soit à 65ans?

Parisot ,partira t elle à 63,5ans en retraite? il est vrai qu'elle ne sera pas très fatiguée et qu'elle en a les moyens.

mais ,Parisot n'est pas forcément bien lacé pour demander des sacrifices aux Français ,elle qui quand elle était à la tête e l I.F.O.P. n'a jamais respecté le code du travail ,c'est sûrement pour cela qu'elle voudrait qu'il soit remanié à sa sauce.

Elle a été condamné le 17 avril 08 par les prud'hommes de créteil qui a donné raison à 11 anciens salariés de phone city ,filiale  100% de l' I.F.O.P. et les contrats qui étaient des CDD on du être requalifiés en CDI

la plus part des salariés avaient cumulés au moins 60 contrats CDD de 1996 à 2002

d'autres avaient des bulletins de salaires sans contrat correspondant

les 11 salaries ont obtenus des indemnités pour licenciement   sans cause réelle et sérieuse et naturellement rappel de salaires et requalifications de temps partiels en temps complets en plus de la requalification de leurs contrats CDD en CDI

Comme beaucoup de patrons ,et de politique pour elle c'est faites ce que je dis mais pas ce que je fais

le Président de la G.O.C.

NOUVELOBS.COM | 21.05.2008

Selon la présidente du Medef, c'est la seule solution viable pour résoudre le problème du financement des retraites. "Ce scénario est le seul qui permettrait en 2020 de trouver un équilibre financier du régime général", explique-t-elle.

La présidente du Medef Laurence Parisot s'est prononcée mardi 20 mai pour un allongement de la durée de cotisation à 41 ans en 2012 et un report de l'âge légal de départ en retraite à 63,5 ans, "seul scénario" capable à ses yeux de résoudre le problème de financement des retraites.
"Une durée de cotisation à 41 ans en 2012 et un âge légal de départ en retraite à 63,5 ans, ce scénario - que personne ne veut dire - est le seul qui permettrait en 2020 de trouver un équilibre financier du régime général", a-t-elle déclaré lors de sa conférence de presse mensuelle.
Soulignant que "les questions des retraites, de l'emploi des seniors et de la pénibilité sont essentielles pour le moral de notre société", Laurence Parisot a jugé que "remettre le sujet sur la table tous les 2-3 ans est anxiogène".

Séniors et juniors doivent être complémentaires

Pour améliorer le taux d'emploi des seniors, où "la France décroche sur la tranche des 55-59 ans car la ligne d'horizon, l'âge légal de la retraite, joue sur les employeurs et sur les employés", elle a estimé que "le secteur public devrait peser au moins autant que le privé".
"Pour les 55-59 ans, on ne peut agir que sur le taux de chômage ou sur les dispenses de recherche d'emploi (DRE)", qui seront "l'un des enjeux importants de la prochaine négociation d'assurance chômage", selon la patronne des patrons, défavorable à des "dispositifs archi-vus ou archi-inefficaces comme une cotisation supplémentaire ou des quotas".
La présidente du Medef a aussi reconnu "un problème de management des ressources humaines", suggérant "un double tutorat" entre seniors et juniors. Le senior apporterait "sa connaissance du métier, son savoir-faire, ses bonnes pratiques de comportement", le junior l'aiderait "à rester dans le coup" en matière de nouvelles technologies, a-t-elle précisé.

La pénibilité de l'emploi à l'étude

Quant à la négociation sur la pénibilité, actuellement suspendue, le Medef est d'accord pour la reprendre "si les organisations syndicales sont d'accord avec un examen individuel par une commission médicale" pour attester des effets de la pénibilité sur le salarié, selon Laurence Parisot.
"Nous pouvons tomber d'accord avec les syndicats sur des critères concernant les facteurs de risque comme le travail de nuit. Mais nous ne pouvons pas considérer que quelqu'un ayant tous ces critères ait d'emblée accès à une retraite anticipée", a-t-elle indiqué.
Le patronat est aussi "prêt à examiner" les modalités de financement de départs en retraite anticipés pour pénibilité, a déclaré Laurence Parisot.

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