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Gauche ouvrière et chrétienne
25 mars 2008

17e report de l'élection du président libanaise

   Le Liban  reverra t il un jour la paix ?

y aura t il un jour un Président au pays du Cèdre?

tous les libanais pourront ils vivre en paix les uns avec les autres?

est ce que la Syrie et l'Iran laisseront enfin les libanais maîtres de leurs destins et arrêteront ils leurs ingérences?

Le Président de la G.O.C.

24/03/2008 Reuters    le point

Le Liban a repoussé une 17e fois l'élection d'un nouveau président, reporté au 22 avril. L'activité gouvernementale s'en trouve paralysée les différentes parties s'étant accordées sur le nom du général Michel Souleïmane - dont un portrait ici dans une rue de Beyrouth - pour la présidence mais toujours en désaccord sur la composition du futur gouvernement et la loi électorale. /Photo d'archives/REUTERS/Jamal Saidi

Le Liban a repoussé du 25 mars au 22 avril prochain l'élection d'un nouveau président, ce qui constitue le 17e report du scrutin depuis l'expiration du mandat du dirigeant pro-syrien Emile Lahoud en novembre dernier.

En conséquence du report, annoncé par le président du parlement libanais Nabih Berri, il n'y aura pas de chef de l'État libanais au sommet de la Ligue arabe prévu les 29 et 30 mars à Damas.

Les divisions interarabes sur la crise libanaise affectent déjà cette réunion annuelle, l'Arabie saoudite ayant annoncé ce lundi qu'elle n'enverrait à Damas que son représentant permanent au siège cairote de la Ligue.

La crise politique du Liban, la plus grave qu'ait connue le pays depuis la guerre civile de 1975-90, a paralysé l'activité gouvernementale et suscité des accès de violence à caractère confessionnel.

Elle affecte aussi les relations entre la Syrie et l'Arabie saoudite, qui soutiennent des parties opposées dans le conflit.

Ryad appuie la coalition gouvernementale de Beyrouth, qui a le soutien des États-Unis et de la France, alors que Damas et Téhéran sont les auxiliaires d'une alliance d'opposition dominée par le mouvement chiite du Hezbollah.

Les deux camps se sont entendus sur le nom du général Michel Souleïmane pour la présidence mais restent en désaccord sur la composition du futur gouvernement et la loi électorale.

Le parlement ne peut se réunir pour élire le chef de l'État en l'absence d'un accord qui permette d'atteindre le quorum requis pour le vote.

Nadim Ladki, version française Philippe Bas-Rabérin

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