militarisation de l'espace?
Une nouvelle sorte de guerre aurait été lancée par la chine qu'ont suivi les États Unis
la destruction de satellites dans l'espace;
pour parait il la sécurité des habitants de cette planète les États Unis ont détruit à l'aide de missile
la destruction d'un de leurs anciens satellites qui aurait été moribond.
Mais ,tout le monde n'est pas d'accord ,il n' y aurait eu aucun dangers
En tout cas ,cela ne sent pas bon,pour la planète.
Le Président de la G.O.C.
La destruction du satellite soulève des vives inquiétudes à Moscou et Pékin.
« L’objectif était de protéger des vies humaines », a répété le général américain Cartwright, en niant qu’il s’agissait d’un test antimissile, comme le prétend Moscou, et d’avoir cherché à démontrer sa capacité à détruire des satellites dans l’espace, à l’instar de la Chine, qui avait abattu, en janvier 2007, un vieux satellite météo chinois avec un missile. Selon Xavier Pasco, chercheur en recherche stratégique, la substance hautement toxique « brûle dans l’atmosphère sans qu’on ait besoin de la détruire » et la revue britannique Jane’s Intelligence d’ajouter qu’« il n’y avait que de 0 à 1 % de chance que le satellite s’abatte sur une région habitée ».
Hier, Pékin a réclamé aux États-Unis des informations sur la destruction du satellite : « La Chine suit de près les possibles dommages à la sécurité de l’espace créés par l’action américaine », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Liu Jianchao.
Similarités
L’amiral Timothy Keating, chef du commandement Pacifique américain, a reconnu des similarités avec le test anti-satellite chinois, tout en soulignant que l’opération américaine avait été annoncée à l’avance, et impliquait un tir à moindre altitude.
Le 11 janvier, la Chine a réussi à détruire un de ses anciens satellites. Cette information, révélée par la Maison-Blanche mais non confirmée (ni démentie) par les autorités chinoises, ne cesse de faire des vagues.
Lance Gatling, ex-officier américain et expert des questions aérospatiales à Tokyo, estime que cet essai relance les craintes d’une militarisation de l’espace, et démontre clairement que dorénavant, les satellites espions ne sont plus à l’abri d’une destruction par un pays hostile. •