Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Gauche ouvrière et chrétienne
15 février 2008

La croissance française fait pâle figure

Pour qu'il y ait de la croissance,il faut que les français achètent.

Et pour acheter ,il leur faut les moyens nécessaires ce qui n'ait pas le cas ,et loin s'en faut

Et les français qui le peuvent,ils ne sont pas nombreux ,mettre un peu d'argent de coté ,de peur d'une récession,ils le font.

Nous somme loin du pouvoir d'achat promis par le candidat Sarkosy et ensuite par ses amis de droite   

Et il faut aussi du travail,la aussi nous sommes loin des promesses

Mais,ce n'est pas avec le nouveau traité européen,ni avec ce que nous prépare le gouvernement après les élections municipales que la croissance française augmentera                                    ;

Le Président de la G.O.C.

vendredi 15 février 2008

Pour la première fois, la croissance de la zone euro dépasse celle des États-Unis. Mais en Europe, celle de la France est à la traîne. Et 2008 ne sourit guère.

Manqué ! De peu, mais manqué quand même. La France n'a pas réussi, en 2007, à franchir la barre symbolique des 2 % de croissance. La faute à un troisième trimestre calamiteux (+ 0,3 % au lieu du + 0,5 % espéré par l'Insee).

Le gouvernement, qui a longtemps affirmé que la croissance atteindrait 2,25 %, avait revu ses prévisions à la baisse ces dernières semaines « autour de 2 % » : Bercy sauve donc la face. De justesse.

En fait, depuis quatre ans, la France ne parvient pas à faire mieux que ces 2 % supplémentaires de richesse créées. La faute au commerce extérieur qui continue à plomber les comptes : les 39 milliards d'euros de déficit de l'an dernier, par exemple, nous ont coûté 0,3 point de PIB (Produit intérieur brut).

La consommation en berne

Pour la ministre de l'Économie, le « reflux » de la croissance, fin 2007 « ne reflète pas un ralentissement marqué et durable de l'activité ». Le gouvernement prévoit d'ailleurs, pour 2008, une croissance comprise entre 2 % et 2,5 %. Un optimisme que ne partage pas la Banque centrale européenne qui s'inquiète à la fois de la probable récession américaine et de la montée de l'inflation dans la zone euro.

En fait, ce qui inquiète les économistes, c'est la défaillance du principal moteur de la croissance des pays industrialisés : la consommation. En France, en Allemagne et encore plus aux États-Unis, le moral des ménages se dégrade. Or, des familles qui n'ont pas confiance en l'avenir privilégient l'épargne à la dépense... si elles le peuvent encore !

Car la hausse des prix de l'énergie, de l'immobilier, de l'alimentation, etc., ne laisse pas le choix à une partie de plus en plus importante de la population. Pour qui le pouvoir d'achat - qui permet de vivre au quotidien - est devenu un problème crucial

Publicité
Commentaires
Publicité