REGIMES SPECIAUX DE RETRAITE:grève
C'est quand même bizarre que le gouvernement ,subitement,accepte des négociations ,alors qu'il ne voulait pas en entendre parlé avant la grève.
Mais,ou l'État et les différentes sociétés vont ils trouver l'argent nécessaire?alors que ces sociétés ont toujours qu'elles ne pourraient pas financer les retraites? Bizarre,Bizarre
MAIS,LES SYNDICATS SAVENT TRÈS BIEN QUE CE N'EST PAS CHEREQUE,THIBAULT ET AUTRES QUI DÉCIDENT DE LA FIN DE LA GRÈVE MAIS QUE C'EST BIEN A LA BASE DE PRENDRE LA DÉCISION;ET LA,IL VA FALLOIR QUE LES PROMESSES DE SARKOSY,ET DES DIRIGEANTS DES DIFFÉRENTES SOCIÉTÉS SOIENT BIEN TANGIBLES ET QUE CE SOIT DU SOLIDE.
Nous verrons donc dans les prochains jours si la grève continue ou s'arrête
Mais ,le gouvernement a du faire marche arrière
Le Président de la G.O.C.
Après
l’ouverture faite par la CGT mardi soir, Nicolas Sarkozy a donné son
feu vert hier pour que les négociations sur les régimes spéciaux
s’ouvrent au plus vite dans les entreprises concernées. Le conflit
doit, dit-il « s’arrêter le plus vite possible dans l’intérêt des
usagers ».
S’il ne faut pas compter
ce matin sur beaucoup plus de trains qu’hier, du moins le dialogue
semble enfin sur les rails. On regrettera qu’encore une fois il ait
fallu passer obligatoirement par la case blocage pour que la
négociation reprenne ses droits, mais il y a quand même un net progrès
par rapport aux précédents conflits dans les transports. Cette fois, il
n’aura pas fallu attendre une semaine de galère pour voir quelques
signes d’éclaircie ! fait en sorte que la crise puisse se dénouer dès le premier jour de conflit
Le secrétaire général de l’Élysée Claude
Guéant est tout de même allé un peu vite en besogne en affirmant que
Bernard Thibault avait «
».
Le secrétaire général de la CGT a entrouvert une porte de
sortie en acceptant finalement une négociation entreprise par
entreprise, régime par régime, à la condition que l’État y participe
aussi. Mais il est loin d’avoir convaincu ses troupes de le suivre
aussi rapidement dans cette direction, tandis que le syndicat SUD-Rail
crie déjà à la trahison et à la capitulation en rase campagne. À son côté,
le responsable du dossier des retraites à la CGT, Jean-Christophe Le
Duigou, fait preuve du même pragmatisme en soulignant Nous ne sommes pas par nature des “gréviculteurs”. »
La fédération des cheminots CGT, elle, n’est pas encore sur la même
longueur d’onde que Bernard Thibault. À la SNCF comme à la RATP, elle
inscrit son mouvemen », ne voulant pas non plus laisser trop d’espace à son concurrent SUD-Rail qui campe sur son rejet en bloc de la réforme. Je ne suis pas là pour négocier des mesures d’accompagnement tout est négociable les dernières Hier
soir, Xavier Bertrand a accordé un mois aux syndicats et aux dirigeants
des entreprises concernées pour trouver un accord, tout en précisant
que les textes de la réforme seraient publiés au terme de ce délai.
Du côté du
gouvernement d’ailleurs, le ton s’est fait nettement plus conciliant
que ces derniers jours. À part les trois principes de base de la
réforme – allongement à quarante ans de la durée de cotisation ; décote
pour les départs précoces ; indexation sur les prix –, « <cf733>