Un patronat séduit,des syndicats sceptiques
Il est logique que le patronat soit séduit par le discourt de Sarkosy puisqu 'il ne leur demande aucun effort à faire;
ce sont les salariés qui vont subir les conséquences des mesures annoncées par Sarkosy:moins d'emplois,plus d'heures de travail payées moins,salaires en baisse,précarité pour les salariés,moins de sécurité sociale,suppression du CDI donc moins de protections des salariés
Et pendant ce temps la le patronat s'en mettra plein les poches à bon compte
Il va falloir que les salariés du privé et du public réagissent avec leurs syndicats;
et que tous les partis de gauche eux aussi réagissent et agissent.
Le Président de la G.O.C.
« Il va falloir penser à la mobilisation des salariés si on veut changer cette politique sociale », a réagi hier le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, après le discours de Nicolas Sarkozy devant l'Association des journalistes d'information sociale. Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a estimé pour sa part que le calendrier « imposé » par Nicolas Sarkozy aux partenaires sociaux était « impossible à tenir », craignant que la multiplication des réformes ne « bâcle le travail ». Le leader syndical s'est aussi inquiété qu'« on aille plus vers des assurances privées et personnelles », estimant aussi que le Président avait oublié que « le problème du travail des seniors, c'est que les entreprises ne les gardent pas ». L'individualisation de la protection sociale a également hérissé Force ouvrière. Le chef de l'Etat « promeut l'individualisation qui conduit à la privatisation partielle de la couverture sociale », fustige le syndicat. Les échos étaient nettement plus favorables du côté du Medef. Sa patronne, Laurence Parisot, a salué un discours « historique » et la « nouvelle architecture sociale » esquissée par le président de la République.
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