Service minimum :mobilisation ce mardi après-midi

la GAUCHE OUVRIÈRE ET CHRÉTIENNE  soutient la mobilisation lancée par tous les syndicats pour défendre le droit de grève,la liberté de s'exprimer,pour lutter cont ce projet de service minimum qui n'est qu 'électoraliste et une atteinte au droit de grève.

Nous demandons donc à tous les Français,à tous les salariés du privé et du public,même ceux qui sont en vacances,de se mobiliser cet après midi et de crier leur colère,de demander l'abolition de ce projet de loi;et naturellement de se tenir prêts pour d'autres manifestations dès la rentrée.

Comme d'habitude ,le gouvernement profite des vacances pour faire passer des lois scélérat et des lois contre notre liberté de pouvoir s'exprimer;

soyez donc nombreux pour cette manifestation cet après midi

Le Président de la G.O.C.

NOUVELOBS.COM | 31.07.2007 | 07:41

Un rassemblement est prévu à 14h30 aux abords du Palais Bourbon pour protester contre le projet de loi actuellement examiné à l'Assemblée nationale.

Sept fédérations de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, Sud-Rail, Unsa et Fgaac), quatre fédérations de transport (CGT, CFDT, FO et CFTC), Solidaires et la FSU ont appelé à se mobiliser mardi 31 juillet contre le projet de loi sur le service minimum.
Un rassemblement est prévu à 14h30 aux abords du Palais Bourbon.
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a appelé lundi 30 juillet dans la soirée à se joindre à la journée d'action, prévue mardi, des syndicats contre ce projet de loi.
"Le SNJ se joint à la journée de mobilisation du 31 juillet et appelle ses adhérents à participer aux rassemblements organisés devant les préfectures et devant l'Assemblée nationale", écrit le syndicat dans un communiqué.
"Au détour du projet de loi concernant un service minimum dans les transports, le gouvernement et le Medef entendent réduire fortement le droit de grève et affaiblir la capacité d'action collective des salariés", dénonce le SNJ, pour qui, "en s'attaquant au secteur public (SNCF, RATP, Education), le gouvernement veut affaiblir les secteurs où il craint le plus de résistance".

Soutien de la LCR

"Museler les salariés pour mieux faire passer ensuite la casse des services publics, voilà ce que cache le projet de loi qui va être soumis à l'Assemblée nationale", estime le syndicat.
La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) a également affirmé lundi son soutien aux manifestions appelant dans un communiqué à "la mobilisation la plus large, associant organisations syndicales, usagers, associations, partis de gauche".
"Sous couvert de 'dialogue social et de continuité du service public', la loi sur le service minimum dans les transports est une attaque en règle contre le droit de grève", estime la LCR.
La formation d'extrême gauche dénonce "les apprentis sorciers de l'UMP" qui "s'imaginent sans doute pouvoir réduire au silence les salariés" et avertit: "aucun texte de loi n'a pu empêcher mai 68 ou novembre-décembre 95".