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Gauche ouvrière et chrétienne
21 mars 2007

Le référendum français promis sur les institutions embarrasse le PS

La GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE, qui a toujours dis que Royal et son entourage étaient de droite et que les 3/4 du PS viraient dangereusement vers la droite, a une nouvelle fois raison ;nous vous en donnant la preuve ci dessous.

Car,Royal et l'ensemble de ses conseillers et une bonne partie du PS est entrain de se ranger derrière les pays qui avaient voté oui au référendum sur la constitution européenne.

Royal est entrain de faire marche arrière sur sa promesse de faire un référendum sur la nouvelle constitution et de n'accepter une telle constitution que si les demandes des français étaient respectées;hors,dans la constitution que sont entrain de faire l'Allemagne avec d'autres pays n'est pas inclu ce qu'ont demandé les français.

Et ce nouveau traité Royal le ferait voté par voix parlementaire,et non comme promis par référendum.

Sarkosy  ferait voter par voix parlementaire un mini traité .

Bayrou est entrain de vouloir lui aussi de faire la meme chose.

Sarkosy est entrain de ""faire cocu" les français  aux profits des pays  ayant dis oui  au référendum et à ceux du patronat français.

Sarkosy et Bayrou sont eux aussi entrain de mener les français dans la farine concerant ce sujet.

Si Royal ,Bayrou et sarkosy ne peuvent pas ,ne veulent pas tenir compte des demandes des français concernant la constitution européenne :demandent qui ont été faite lors du non à la constitution et lors du rejet du cpe,ils nous mentent et menteront sur d'autres sujets aussi grave sinon plus grave;en conclusion,ils ne sont pas fait pour etre Président(e) de la République.

Dans les différentes émission télévisées ou dans les différents articles ,nous n'avons pas entendu ni lu beaucoup de déclaration ni d'intention ferme concernant l'UE,la constitution européenne :sujet éviter par les présidentiables.

La GAUCHE OUVRIERE ET FRANCAISE demande aux français d'éviter  de mettre à la tete de notre pays une personne qui n'ait pas capable de tenir ses promesses et de défendre les intérets des français.
Mais de voter dès le premier tour pour le ,la,candidat(e) qui incarne le mieux la vraie gauche française qui sera la seule capable de défendre tous les intérets français dans l'europe et dans le monde .

Les français et françaises ne doivent pas accepter d'etre"cocu",d'etre roulés dans la farine par un,une,cancadidat(e) incapable de tenir ses promesses faites devant des millions de français (Royal,Sarkosy sans oublier Bayrou).

Le Président de la G.O.C.



Le référendum français promis sur les institutions embarrasse le PS
         

LE MONDE | 21.03.07 | 15h08  •  Mis à jour le 21.03.07 | 15h08         

                                         

                                      

               
                  
                  





               
                  

L'idée d'un traité institutionnel européen qui reprendrait une partie du traité constitutionnel rejeté par les Français, en 2005, mais qui ne ferait pas l'objet d'un nouveau référendum, gagne du terrain parmi les dirigeants français. Cette idée avait été reprise par Nicolas Sarkozy, qui avait proposé, dès janvier 2006, de faire adopter par la voie parlementaire un "mini traité" reprenant les principales avancées du traité constitutionnel en matière d'institutions. Rejetée, dans un premier temps, aussi bien par les pays ayant déjà ratifié le traité qu'en France par le PS de Ségolène Royal et l'UDF de François Bayrou, elle a néanmoins fait son chemin sous diverses variantes.

 

Interrogée, mardi 20 mars, sur la nécessité d'un référendum en toute hypothèse, l'ancienne ministre socialiste Elisabeth Guigou, qui a conseillé, ces derniers temps, Ségolène Royal sur l'Europe, est restée prudente : "Je ne crois pas que ce soit une question à laquelle on peut apporter une réponse définitive", a-t-elle dit au cours d'une discussion organisée au siège de la représentation de la Commission européenne à Paris, à laquelle participaient l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing, le député UMP Pierre Lequiller et l'ancien eurodéputé Philippe Herzog.

PRENDRE PLUS DE "RISQUES"

Comme François Bayrou, la candidate socialiste s'en est toujours tenue à l'engagement de faire ratifier un traité renégocié par référendum, avant juin 2009. Cette ligne n'a été mise en cause qu'à la marge. "S'il n'est qu'un règlement intérieur de fonctionnement de l'Union, sous la pression des eurosceptiques, des Britanniques, des Polonais, des Tchèques auxquels Nicolas Sarkozy prête la main avec son mini traité, il peut passer par la voie parlementaire", a déclaré Dominique Strauss-Kahn au Monde, le 10 mars 2007.

MM. Lequiller et Herzog, comme le sénateur Hubert Haenel (UMP), ont développé des modèles de négociations en deux étapes, appelant à trouver un accord sur les institutions avant de rediscuter des politiques de l'Union. Cette position, acceptée, mardi, dans son principe par M. Giscard d'Estaing, a suscité beaucoup d'intérêt en Europe où la plupart des gouvernements cherchent à s'épargner les affres d'un nouveau référendum français.

Mme Guigou a reconnu la nécessité de parvenir "d'ici au début 2008 au plus tard" à un nouveau traité. Elle a défendu une idée proche de celle de ses interlocuteurs sur ce qu'il devrait contenir : la première partie du traité constitutionnel initial qui énumère les valeurs de l'Union et sa nouvelle architecture institutionnelle, la charte des droits fondamentaux, et, a-t-elle proposé, "les bases juridiques" de la troisième partie nécessaires à développer les politiques de l'Union. Elle a fait valoir sa différence en demandant "un protocole socio-économique" et en souhaitant qu'avant d'engager la conférence intergouvernementale en vue de négocier ce traité, les Vingt-Sept se mettent d'accord, dès juin, sur des "initiatives" propres à répondre aux attentes du public, par exemple, en matière de lutte contre le réchauffement climatique ou dans le domaine de l'éducation. Il s'agit, a-t-elle défendu, de "créer un nouveau climat" propice aux négociations.

M. Giscard d'Estaing, qui a présidé la Convention qui a élaboré le traité constitutionnel, a appelé les protagonistes de l'élection présidentielle à prendre plus de "risques" sur l'Europe. "Il y a un potentiel fort d'acceptation pour un projet rénové. Mais il faut pour cela parler un langage moins strictement national, plus européen, dire qu'on veut travailler avec les autres Européens." "Il faut que les dirigeants politiques français s'investissent dans l'action européenne. Cela n'a pas été le cas depuis quinze ans", a-t-il regretté.

Henri de Bresson

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