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Gauche ouvrière et chrétienne
9 janvier 2007

israel preparerait des frappes contre les sites nucleairs

COMME IL EST SOUVENT DIS:IL N' A PAS DE FUMEE SANS FEU D'AUTANT PLUS QU'ISRAEL AVAIT DEJA  FAIT LA MEME CHOSE EN IRAK EN 1981.

ET AUSSI ,ISRAEL A DIS PLUSIEURS FOIS QU 'IL NE PERMETTRAIT PAS A L'IRAN D'AVOIR L'ARME ATOMIQUE.

BIEN QU'IL Y AIT DES DEMENTIS OFFICIELS PLUS OU MOINS LABORIEUX,L'ACTION D'ISRAEL CONTRE LES SITES NUCLEAIRES IRANIENS EST A PRENDRE AU SERIEUX.

CAR,IL EST DIS QU'ISRAEL LE FERAIT SI LES ETATS UNIS NE REAGISSAIENT PAS.

SI ISRAEL FESAIT CES FRAPPES CE SERAIT AVEC LA BENEDICTION DES ETATS UNIS.

PERSONNE POUR L'INSTANT N'EST SUR DE CES REVELATIONS NI NE SAIT LES CONSEQUENCES SUR LA REGION D'UNE TELLE ACTION.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.


L’État hébreu échafauderait-il en secret des plans de frappes atomiques pour détruire les sites nucléaires  iraniens ? C’est ce qu’a révélé, en tout cas, dans son édition d’hier, l’hebdomadaire britannique Sunday Times.

Après avoir détruit le réacteur nucléaire irakien d'Osirak en 1981, par des frappes aériennes, Israël prépare une attaque contre les sites nucléaires iraniens en utilisant cette fois-ci des armes atomiques.
Citant des sources militaires israéliennes, le journal londonien Sunday Times affirme que l’État hébreu est en train de mettre au point un plan de destruction des installations iraniennes d'enrichissement de l'uranium par une frappe aérienne au cours de laquelle l'arme nucléaire tactique sera utilisée.
Même si un haut responsable israélien a cependant jugé "absurdes" ces informations, il n’en demeure pas moins que les informateurs de la publication indiquent que deux escadrilles de l'armée de l'air israélienne sont actuellement en train de s'entraîner pour détruire ces installations lors d'une frappe unique. Il semblerait que ce plan ressemble comme deux gouttes d’eau à celui qu'aurait envisagé les États-Unis, comme l’avait rapporté un article publié en avril dernier par le magazine américain New Yorker. Pour rappel, La Maison-Blanche avait démenti ces informations. À en croire ces sources, les avions israéliens viseraient trois cibles différentes. Il s’agit de l'usine d'enrichissement de Natanz, une installation de conversion de l'uranium près d'Ispahan, ainsi qu’un réacteur à eau lourde à Arak, tous situés au sud de Téhéran. Lors de cette attaque, il est prévu l'utilisation de missiles conventionnels guidés par laser pour ouvrir des tunnels avant l'utilisation de bombes atomiques tactiques, d'une puissance équivalente à un quinzième de la bombe d'Hiroshima. L’hebdomadaire britannique ajoute, toujours selon ses sources, que les pilotes israéliens auraient, ces dernières semaines, effectué des vols d'entraînement jusqu'à Gibraltar pour s'entraîner au long trajet aller et retour de plus de 3 200 kilomètres pour atteindre les cibles iraniennes, affirme le journal, qui croit savoir que trois plans de vol différents ont été mis au point, dont un prévoit le survol du territoire turc.
L’état-major de l’armée israélienne aurait retenu l'option de l'arme nucléaire tactique, dont l'explosion aurait lieu en profondeur pour éviter des retombées radioactives, car craignant que des bombes conventionnelles ne soient pas assez efficaces contre des installations bien défendues. "Dès que le feu vert sera donné, il y aura une mission, une frappe et le projet nucléaire iranien sera détruit", a révélé, au Sunday Times, un militaire israélien sous couvert de l’anonymat. Israël a toujours refusé d'écarter l'hypothèse de frappes préventives, à l'image du raid aérien lancé en 1981 contre le réacteur nucléaire irakien d’Osirak, bien que l’opération soit très risquée, d’où les hypothèses d'analystes estimant que dans le cas de l'Iran, Israël ne pourrait se lancer seul dans une telle offensive.
Ceci étant, en dépit des sanctions prises contre elles en raison de leur programme nucléaire, les autorités iraniennes ont toujours l'intention d'installer 3 000 centrifugeuses à Natanz, où deux cascades de 164 centrifugeuses sont déjà en service.Toutefois, le Sunday Times prend le soin de préciser que les informations sur cette menace pourraient avoir filtré volontairement afin de faire pression sur l'Iran pour qu'elle renonce à ses projets.

K. ABDELKAMEL

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