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Gauche ouvrière et chrétienne
1 décembre 2006

la gauche antiliberale trahi par la lcr et besancenot

LA MINORITE DE LA LCR N'A PAS ETE ECOUTE,LA ENCORE ET CE N'EST PAS ETONNANT.

BESANCENOT A PRIS UN PEU LA "GROSSE TETE"

LA MAJORITE DE LA LCR ET NATURELLEMENT BESANCENOT N'ONT JAMAIS VOULU QUE LA GAUCHE LIBERALE PUISSE EXISTER SAUF SI C'ETAIT LUI QUI EN AURAIT ETE LE LEADER,LE CANDIDAT UNIQUE.

SI LA GAUCHE LIBERALE N'ARRIVE PAS A S'UNIR ET SI ELLE NE PRESENTE PAS DE CANDIDAT EN 2007 LA MAJORITE DE LA LCR AVEC A SA TETE BESANCENOT EN AURONT L'ENTIERE RESPONSABILITE.

BESANCENOT ET SA MAJORITE FERONT ,COMME EN 2001,BATTRE LA VRAIE GAUCHE ET FERONT ELIRE UN OU UNE LIBERALE ET LA AUSSI ILS EN PORTERONT L'ENTIERE RESPONSABILITE ET ILS NE POURRONT PAS REPROCHER AU PS DENE PAS TENIR COMPTE DES ATTENTES DU PEUPLE DE GAUCHE.

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE,N'EST DONC PAS ETONNE DE LA POSITION DE BESANCENOT NOUS AVONS EU L'OCCASION DE DIRE CE QUE NOUS EN PENSIONS,MAIS NOUS ESPERONS ET NOUS SOMMES SUR QUE LA GAUCHE ANTILIBERALE POURRA S'UNIR ET AVOIR SON CANDIDAT POUR 2007.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.

Olivier Besancenot candidat à part entière

   

   



PARIS (Reuters) - Olivier Besancenot a confirmé son statut de candidat à part entière à la présidentielle, refusant de rejoindre le mouvement des collectifs unitaires de la gauche anti-libérale qui tentent de présenter un candidat unique en 2007.

"La balle n'est plus dans mon camp. Je ne postule pas à une candidature unitaire", a déclaré à Reuters le jeune porte-parole de la Ligue Communiste révolutionnaire (LCR) avant son premier grand meeting parisien.

A ses yeux, le Parti communiste et les autres composantes de la mouvance antilibérale, qui s'est agglomérée autour du "non" à la Constitution européenne, n'ont pas assez clairement refusé de participer à un éventuel gouvernement socialiste issu des élections de 2007.

Cinq ans après le 21 avril 2002, et l'élimination de Lionel Jospin dès le premier tour de la présidentielle, Olivier Besancenot ne souhaite ni "la dispersion électorale" ni une "unité de façade" qui "éviterait d'aborder les sujets qui fâchent".

"C'est l'indépendance revendiquée vis à vis du Parti socialiste qui a été payante pour le référendum (de 2005) et qui sera payante pour faire avancer toute la gauche", insiste-t-il.

Le facteur le plus célèbre de France - il distribue toujours le courrier à Neuilly-sur-Seine - défend deux grands mots d'ordre: lutte contre le capitalisme et contre les discriminations.

"NOTRE ADVERSAIRE, C'EST LA DROITE"

Il propose notamment d'augmenter les salaires, minima sociaux et pensions de retraites de 300 euros nets par mois et demande le vote d'une loi "pour interdire les licenciements".

Le dirigeant d'extrême-gauche élude cependant les questions sur l'interdiction des licenciements pour faute. "Beaucoup de licenciements individuels sont des licenciements collectifs déguisés", fait-il valoir, précisant qu'il demande aussi une transparence accrue des procédures disciplinaires.

En ce qui concerne l'immigration, il se déclare favorable à "la régularisation de tous les sans-papiers" et le "droit de vote des immigrés dans toutes les élections".

Sa différence avec Arlette Laguiller, la candidature de Lutte ouvrière "Elle se trouve surtout dans l'approche, explique-t-il.

"La LCR a toujours voulu regrouper toutes les forces anti-capitalistes. En dehors des mouvements révolutionnaires proprement dit, il y a des gens qui veulent en découdre avec le capitalisme".

Olivier Besancenot refuse toujours de s'engager par avance sur des consignes de vote au second tour de la présidentielle. Pas question de dire si la LCR appellera pour voter, le cas échéant, pour le candidat socialiste.

"On verra ça le soir du premier tour, dit-il. Cela dépend(ra) de ce qui sera dit dans le cadre de la campagne. La LCR n'a jamais fait la politique du pire. Notre adversaire, c'est la droite."

 

 

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