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Gauche ouvrière et chrétienne
5 octobre 2006

hollande est il impartial?

DEPUIS QUE ROYAL DISAIT QU'ELLE SERAIT PEUT ETRE CANDIDATE A LA CANDIDATURE POUR 2007 ET SUITE A TOUTES SES DECLARATIONS ET SES DIFFERENTS VOYAGES,IL ETAIT VISIBLE QUE HOLLANDE N'ETAIT PAS IMPARTIAL PUIQU 'IL LAISSAIT FAIRE ET DIRE SA FEMME MEME SI SES PROPOS ET SES ACTES ETAIENT CONTRE LES ACQUIS DES SALARIES,CONTRE LE PS ET SA DOCTRINE.

IL A FALLU LA DEMANDE ,A MINTES REPRISES,DE DIFFERENTES PERSONNALITES DU PS POUR QUE LE PREMIER SECRETAIRE DE CE PARTI RECADRE SA FEMME SANS POUR AUTANT L'OBLIGER A RESTER :DANS SES PROPOSE ET SES ACTES EN ACCORD SUR LA DIRECTIVE DU PS ET SON PROGRAMME.

ET QUAND ELLE A DIT QU'ELLE ETAIT PRETE A FAIRE SON PROPRE PARTI EN DEHORS DU PS ET QU'ELLE NE TIENDRAIT ABSOLUMENT PAS LE PROGRAMME DU PARTI ,HOLLANDE N'A RIEN DIT ET N'A PAS BOUGE.

HOLLANDE N'A PAS NON PLUS BOUGE QUAND CERTAINS DE SES LIEUTENANTS ONT PRIS DES LE DEBUT FAIT ET CAUSE POUR ROYAL,ALORS QUE LE POSTE QU'OCCUPENT CES PERSONNES LEUR DEMANDE LA NEUTRALITE LA PLUS TOTALE.

ET IL NE PEUT ETRE IMPARTIAL LUI QUI A LAISSE TOUTES CES PERSONNES DIRIGER LES MILITANTS DANS LE SENS QU'ILS DESIRAIENT.

IL A VOULU LANCER ROYAL POUR ESSAYER DE COURTE CIRCUITER CERTAINES PERSONNES MAIS IL N'A PAS COMPTE SUR LE FAIT QU'ELLE VOUDRAIT ALLER AUSSI LOIN.

ET DEPUIS DEJA ASSEZ LONGTEMPS,IL EST VISIBLE QUE LE PARTI N'EST PLUS DIRIGE PAR HOLLANDE MAIS PAR ROYAL ET QU'IL DOIT FAIRE CE QU'ELLE EXISTE.

DE PLUS,L' IMPARTIALITE DE HOLLANDE NE PEUT EXISTER DU FAIT QU'IL A TROMPE NON SEULEMENT LES MILITANTS SOCIALISTES MAIQS LES FRANCAIS EN ANNONCANT DES CHIFFRES DE NOUVEAUX ADHERENTS QUI SE TROUVENT ERRONES ET CELA BIEN SUR VOULANT FAVORISER ROYAL.

LES DEBATS DANS LES SECTIONS DU PARTI AURONT ILS BIEN LIEU? NE SERONT ILS PAS TRONQUES,TRUQUES?

LES MILITANTS AURONT ILS LA POSSIBILITE DE VOTER SEREINEMENT? OU NE SERONT ILS PAS OBLIGER DE VOTER DANS LE SENS QUE CERTAINS RESPONSABLES DE LA MOUVANCE HOLLANDE -ROYAL LEUR IMPOSERAIT?

NOUS ESPERONS QUE LES MILITANTS SOCIALISTES,COMME POUR LE NON MASSIF CONTRE LA CONSTITUTION LORS DU REFERENDUM NATIONAL,N'AURONT PAS PEUR DE NOMMER LE CANDIDAT QUI EST LE SEUL A ETRE VRAIMENT A GAUCHE ET A POUVOIR MENER LE PS AU SECOND TOUR ET ENSUITE A FAIRE GAGNER TOUTE LA GAUCHE UNIE AU SECOND TOUR.

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.


DSK et Fabius doutent de l'impartialité de Hollande

Myriam Lévy .

Publié le  04 octobre 2006

Actualisé le 04 octobre 2006 : 07h36

 

 
 




De plus en plus isolé, le premier secrétaire du PS a vu, ces derniers mois, ses soutiens les plus proches se ranger derrière sa compagne.

(AP).

 

       

Alors que la liste des prétendants à l'investiture PS est désormais close, les deux adversaires de Ségolène Royal s'interrogent sur le rôle joué par son compagnon.

 

Quel jeu joue François Hollande ? C'est ce que se demandent, depuis des mois, les adversaires de Ségolène Royal. Le premier secrétaire s'est-il laissé dépasser par l'ascension fulgurante de sa compagne, ou bien l'a-t-il savamment et discrètement orchestrée ? Alors que les trois candidats en lice – Ségolène Royal, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn – ont déposé hier leurs parrainages au siège du parti, une phrase de Hollande occupait toutes les conversations. «Une candidature s'est incontestablement imposée», affirmait le premier secrétaire dans une interview au Monde, appelant, dans la foulée, les militants à «un vote clair». «C'est un appel au vote utile ?» feignait de s'interroger le fabiusien Philippe Martin dans les couloirs de l'Assemblée. «Je ne sais pas à quelle candidature il pense», lâchait, bougon, Dominique Strauss-Kahn.

 

Dans cet entretien où il va au bout de ce que sa pudeur naturelle lui permet de livrer d'une situation familiale inextricable, Hollande se décrit en candidat empêché. Oui, il se pensait «le mieux qualifié, le plus légitime». «Je pensais en avoir fait la démonstration pour avoir redressé le PS après le 21 avril 2002, gagné les élections régionales et européennes en 2004, réussi la synthèse autour du projet». Mais, explique-t-il, sa candidature n'étant pas apparue comme «permettant le rassemblement de tous», son renoncement «s'imposait».

 

«Garant de la clarté du débat»

 

Hollande révèle aussi que, contrairement à ce qu'avait affirmé Royal au début février, la décision ne s'est pas prise en couple et, dit-il, «n'avait pas à l'être». «Il y a eu des discussions comme avec d'autres. Mais j'ai toujours considéré que nous devions, elle et moi, chacun agir en responsabilité et en liberté». Avec la meilleure volonté du monde, il reste difficile de croire que les discussions entre Royal et lui puissent être du même ordre qu'avec Jack Lang ou Lionel Jospin, et tout le raisonnement exposé plus haut laisse à penser que Royal a agi plus librement que lui.

 

Aujourd'hui, Hollande est un homme bien seul. Mois après mois, il a vu ses soutiens les plus proches se ranger derrière Royal : d'abord Julien Dray, puis son numéro deux François Rebsamen, et son copain de l'ENA Michel Sapin. Jusqu'à son fils qui participe activement à la campagne de sa mère. Hier, Jean-Marc Ayrault, le patron des députés PS, s'est officiellement rangé derrière Royal. Lionel Jospin et ses amis n'ont pas de mots assez durs contre Hollande. «À force de jouer au billard à douze bandes, il s'est pris les pieds dans le tapis», disait dimanche Claude Allègre. Ils lui reprochent de ne pas avoir appelé Jospin, voire d'avoir laissé se développer la candidature Royal pour empêcher l'ancien premier ministre de sortir du bois, quand lui considère que la tentative avortée de Jospin a définitivement bloqué sa propre candidature.

 

Aujourd'hui, Hollande se pose en «garant de la clarté du débat et du respect» et affirme qu'il «ne fera pas connaître son choix» d'ici au vote des militants le 16 novembre pour le premier tour, et le 23 pour le second. Mais déjà, les supporters des autres candidats ont l'impression de s'être fait rouler dans la farine. Ainsi, hier, ils ont appris que les nouveaux adhérents Internet, réputés plus favorables à Royal que les anciens, n'étaient que 66 077, et non 85 000 comme la direction l'avait annoncé au printemps. Contre 87 974 anciens à jour de cotisation et 59 159 anciens devant encore régler leur obole pour 2006. Pour eux, en gonflant le nombre des nouveaux, la direction aurait artificiellement forcé la main de l'appareil pour qu'il suive la vague de l'opinion en faveur de Royal. Pourtant, disait hier un partisan de DSK, «c'est bien le vieux parti qui va décider».

 

 

 

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