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Gauche ouvrière et chrétienne
17 juillet 2006

Le G8 et l'ONU préparent l'envoi d'une force internationale au Liban-sud

IL EST GRAND TEMPS QUE CEUX DU G8 FASSENT EN SORTE QUE L'ONU PUISSE ENVOYER LE NOMBRE NECESSAIRE D'HOMMES POUR UNE FORCE INTERNATIONALE AU LIBAN-SUD ET CELA AVANT QU'ISRAEL NE PUISSE ET LE HEZBOLLAH NE PUISSENT CONTINUER A DETRUIRE LE LIBAN ,LA PALESTINE ET DES VILLAGES D'ISRAEL.

CAR,D'APRES UN DIPLOMATE ISRAELIEN ,IL NE RESTERAIT QU'A PEINE UNE SEMAINE A ISRAEL POUR MENER A BIEN CE QU'ELLE A ENTREPRI ET CELA AVANT QUE L'OPINION INTERNATIONALE NE DEVIENNE TROP FORTE.,D'APRES UNE PERSONNALITE PROCHE DES SERVICES SECRETS.

IL FAUR DONC QUE BUSH SE JOIGNE PLUS CLAIREMENT AUX AUTRES PAYS DU G8 POUR EXIGER UN CESSE LE FEU IMMEDIAT D'ISRAEL DE FACON QUE L'ONU PUIISE METTRE LA FORCE INTERNATIONALE PREVU AU SUD-LIBAN.

ET BIEN SUR CETTE FORCE DEVRA AVOIR LE POUVOIR DE DESARMER LES MILICES LIBANAISES ET LES SOLDATS ISRAELIENS DEVRONT ETRE LIBERES AINSI QUE LES CHEFS PALESTINIENS.

PLUS TOT CETTE FORCE INTERNATIONALE SERA MISE EN PLACE ET PLUS TOT LES LIBANAIS POURRONT APERCEVOIR A NOUVEAU LA PAIX ET VIVRE PLUS TRANQUILLEMENT ET AUSSI CELA EMPECHERA SANS DOUTE TOUTE CETTE EXODE ACTUELLE.

CETTE FORCE INTERNATIONALE QUI SERA BASEE AU SUD-LIBAN DEVRA Y RESTER AUSSI LONGTEMPS QUE NECESSAIRE CAR NOS AMIS LIBANAIS ONT EUX AUSSI LE DROIT DE VIVRE ENFIN EN PAIX.

ET IL FAUDRA BIEN QU'ISRAEL  ET LE HAMAS ACCEPTENT UN JOUR QUE LES CITOYENS DES DEUX PAYS ASPIRENT A VIVRE EN PAIX COTE A COTE.

IL FAUDRA AUSSI QUE LES MILICES PALESTINIENES ET ISRAELIENNES SOIENT ELLES AUSSI DESARMEES.

ENFIN,IL NOUS SEMBLE QUE CETTE FORCE INTERNATIONALE AURAIT DU ETRE MISE EN PLCE DEPUIS PLUSIEURS JOURS ET CELA AURAIT EMPECHER LA MORT D'INNOCENT MAIS BUSH EST LE SEUL RESPONSABLE AVEC LES BELLIGERANTS DE CE RETARD.

D'AUTRE PART SI LES NEGOCIATIONS,A L'OMC, SUR L'OUVERTURE DES MARCHES POUR CERTAINS PAYS SE DEBLOQUENT SANS NUIRE AUX INTERETS DE TOUS CELA EST BIEN,MAIS IL RESTE ENCORE BEAUCOUP DE CHEMIN A FAIRE POUR TROUVER UN COMPROMIS ACCEPTABLE POUR TOUS

LE PRESIDENT DE LA G.O.C.


 

 

Les préparatifs pour l'envoi par l'ONU d'une force internationale au Liban-sud ont dominé lundi la dernière journée du G8 de Saint-Pétersbourg, qui a également permis de donner une nouvelle impulsion aux négociations commerciales de l'OMC.

            

Sur la force internationale, les conditions pour passer à l'acte sont loin d'être réunies et un déploiement risque de prendre du temps.

            

Alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah ne donne aucun signe d'apaisement, le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan les a appelés à conclure une trêve pour permettre la mise en place d'une force internationale à la frontière israélo-libanaise.

            

"Nous devons obtenir des parties concernées qu'elles se mettent d'accord, aussi vite que possible, sur une cessation des hostilités pour nous donner le temps de travailler" à l'envoi de ces soldats, a dit M. Annan, à Saint-Pétersbourg pour la dernière journée du sommet.

            

Il a ajouté que la force qu'il envisageait serait "une force de stabilisation".

            

Selon le Premier ministre britannique Tony Blair, ce contingent devrait comprendre beaucoup plus que les 2.000 hommes de la mission de l'ONU déjà présente dans le sud.

            

Plutôt autour de 8.000 hommes, a jugé son homologue italien Roman Prodi, qui parle d'une mission "de maintien de la paix". Le président français Jacques Chirac a souhaité de son côté que la force dispose de "quelques moyens de coercition" pour établir un "cordon de surveillance" au sud Liban et désarmer les milices libanaises.

            

L'idée de cette mission avait été avancée la veille par les chefs d'Etat et de gouvernement du G8, parvenus difficilement à surmonter leurs divisions pour publier une déclaration commune sur le Proche-Orient.

            

Le texte précise les conditions pour mettre fin à l'escalade de la violence au Liban, en demandant qu'Israël et le Hezbollah mettent fin à leurs bombardements, que les soldats israéliens enlevés rentrent chez eux sains et saufs et qu'Israël libère les responsables palestiniens arrêtés.

            

Par ailleurs, le G8 s'est réuni dans la journée pour un ultime effort visant à sauver les négociations de Doha à l'OMC sur la libéralisation du commerce mondial, aujourd'hui bloquées. Les dirigeants des grandes puissances ont tenu une réunion avec leurs homologues brésilien, chinois, indien, mexicain et sud-africain.

            

Ils ont obtenu que des négociations marathon démarre sur-le-champ au niveau des ministres avec l'objectif de décrocher un compromis mi-août.

            

Le chef d'Etat brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, dont le pays joue un rôle-clé à l'OMC, s'est dit prêt à faire preuve de "flexibilité", à condition que les autres pays bougent aussi. Le président français Jacques Chirac a refusé, en l'état, de nouvelles concessions.

            

Le cycle de Doha doit en principe bénéficier en priorité aux pays pauvres, en leur ouvrant les marchés européens et américain. Mais les tractations achoppent sur la question droits de douane agricoles.

            

A l'issue du sommet de Saint-Pétersbourg - qui aura été plus une mise à jour des grands dossiers internationaux qu'un tournant - la Russie peut se réjouir d'un succès au G8, celui notamment d'avoir parlé d'une seule voix sur le Proche-Orient, même si la portée de la déclaration reste à prouver.

            

La réunion a consacré son retour dans la cour des grands. Toutefois, l'opposition de Washington à son entrée à l'OMC l'a privée d'un triomphe. Et les débats sur l'énergie des grands de ce monde n'ont guère permis d'enrayer la hausse sans fin des prix du pétrole.

            

Le sommet terminé, les regards se tournent vers la présidence allemande en 2007. La chancelière Angela Merkel a déjà laissé entendre que le G8 - dont la nature a changé déjà un peu avec l'entrée de la Russie - chercherait à garder son identité, en refusant un élargissement aux Chinois et aux Indiens.


Le temps serait compté pour l'offensive israélienne au Liban

LE TEMPS SERAIT COMPTÉ POUR L'OFFENSIVE ISRAÉLIENNE AU LIBAN
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JERUSALEM (Reuters) - Israël disposerait de moins d'une semaine avant que la pression internationale ne devienne trop forte pour poursuivre avec la même intensité son offensive au Liban, estime-t-on de sources proches de la sécurité israélienne.

L'Etat hébreu a été soutenu jusqu'à maintenant par les Etats-Unis qui ont mis en avant son "droit de se défendre" et se sont montrés bien moins critiques que l'Union européenne et les Nations unies.

Mais Washington ne pourra pas empêcher éternellement qu'un cessez-le-feu soit exigé, affirment ces sources israéliennes et des diplomates occidentaux.

"(Les forces israéliennes) essaient de frapper le plus possible le Hezbollah avant que cela arrive. Ils vont devoir accélérer les bombardements"", a déclaré une source de la sécurité israélienne.

Tout en soutenant sa campagne militaire, les Etats-Unis ont commencé à réclamer qu'Israël achève son opération sans trop tarder, a expliqué un diplomate occidental.

Les membres du Conseil de sécurité de l'Onu discutent du déploiement d'une force de sécurité multilatérale dans le sud du Liban, une décision qui entraverait sérieusement la poursuite des raids israéliens.

         
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