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Gauche ouvrière et chrétienne
20 avril 2006

L'Etat somme les universités de payer

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE TROUVE SCANDALEUX LES PROPOS DE DE ROBIEN,QUI IL EST VRAI N'EN EST PAS A UN PARADOXE NI A UNE MENACE PRES,C'EST L'ETAT QUI A PROVOQUE LES ETUDIANTS AVEC SON CPE :CONTRAT DE PRECARITE(IL EST HEUREUSEMENT ENLEVE)C ' EST DE ROBIEN QUI PROVOQUAIT LES ANTI CPE ET IL FAUDRAIT MAINTENANT QUE CE SOIT LES UNIVERSITES,SANS DOUTE PARCE QUE LES PRESIDENTS AVAIENT DEMANDES LA SUSPENSION DU CPE,QUI PAYENT LES DEGRADATIONS

DE ROBIEN N'A PAS SUPPORTE QUE SON AMI DE VILLEPIN AIT ETE OBLIGE DE RECONNAITRE QU'IL FALLAIT ENLEVE LE CPE ,ALORS MAINTENANT IL VEUT FAIRE PAYER LA DEROUTE GOUVERNEMENTAL AUX UNIVERSITES

DE ROBIEN AU LIEU DE S'EN PRENDRE FINANCIEREMENT AUX UNIVERSITES IL FERAIT MIEUX DE PRENDRE L'AVIS DE TOUTES PERSONNES CONCERNES QUANND IL VEUT MODIFIER L'ENSEIGNEMENT

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE CONSTATE QU'UNE NOUVELLE FOIS L'ETAT N'EST PAS CAPABLE DE PRENDRE SES RESPONSABILITES ET QU'IL LUI FAUT A TOUT PRIS QU'IL TROUVE UNE RESPONSABLE ALORS QUE CE N'EST QUE LUI ET LUI SEUL QUI EST RESPONSABLE DU CONFLIT ANTI CPE ET DE TOUT CE QUI EST ARRIVE DONT LES DIFFERENTES DEGRADATION ET CE N'EST QUE LUI SEULL QUI DEVRAIT PAYER LES REPARATIONS ET NON GREVER LE BUDGET DES UNIVERSITES





L'ensemble des dégradations s'élèverait à plus de deux millions d'euros.

par Prune PERROMAT
QUOTIDIEN : jeudi 20 avril 2006


Comment payer les dégâts occasionnés par plusieurs semaines d'occupation par les étudiants hostiles au contrat première embauche (CPE) ? La question se pose avec de plus en plus d'acuité pour les présidents d'université qui sont confrontés au désengagement de l'Etat. «Je pense que les universités peuvent vraiment supporter ce coût-là et nous, continuer notre programme de formation des jeunes», a affirmé hier le ministre de l'Education nationale, Gilles de Robien.

Pourtant la note est lourde. Plus de deux millions d'euros, selon Yannick Vallée, premier vice-président de la Conférence des présidents d'université (CPU), «sans compter la Sorbonne qui, à elle seule, devrait totaliser un coût de réparation et de nettoyage de 500 000 à un million d'euros». Plus d'une quinzaine d'universités ont été gravement touchées. A Grenoble, les réparations pourraient s'élever à 300 000 euros après des dégradations sur du matériel vidéo. A Rennes-II, «l'estimation grossière» est au minimum de 100 000 euros , selon Philippe Guy, le secrétaire général, dont 60 000 euros seront imputables au budget de l'université. L'université du Mirail à Toulouse, où les occupants ont laissé des amphis repeints à coups de tags, des toilettes dévastées et «des salissures un peu partout», selon son président Rémy Pech, le devis oscille entre 100 000 et 200 000 euros. «J'invite Thierry Breton (ministre des Finances) à examiner les budgets des universités françaises qui sont de plus en plus tendus», a lancé Yannick Vallée. Choqué par l'aspect «punition» des déclarations gouvernementales, il a rappelé que «les universités, dans le CPE, n'y pouvaient pas grand-chose». Même constatation du côté de Richard Lioger, président de l'université de Metz, qui déplore près de 100 000 euros de dégâts : «La position du gouvernement est un peu injuste. Après une lutte aussi importante, il est important que l'Etat se montre, au moins symboliquement, solidaire.»

Si l'Etat déclare forfait, les universités devront trouver des réponses au financement des coûts. Seule la Sorbonne, assurée, se fera rembourser les réparations. D'autres, comme à Toulouse, envisagent de lancer des emprunts. Mais toutes se préparent à se serrer la ceinture.

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