La coordination nationale étudiante ne désarme pas

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE EST D'ACCORD AVEC LA COORDINATION ETUDIANTE POUR QUE LA LOI SUR L'EGALITE DES CHANCES SOIT TOTALEMENT RETIREE AINSI QUE LE CNE
BIEN QUE LES COURS SOIENT REPRIS DANS LES LYCEES ET CERTAINES FACS ,IL SERAIT BON QUE LES 18 ET 25 AVRIL L'ENSEMBLE DES LYCEENS ET DES ETUDIANTS, QUI ETAIENT CONTRE LE CPE ET D'ACCORD AVEC CE QUE DEMANDE LA COORDINATION DES ETUDIANTS ,SOIENT NOMBREUX AUS MANIFS ET QUE LES SALARIES SOIENT AUSSI AVEC EUX
ET QUE TOUS SE RETROUVENT LE PREMIER POUR UN GRAND RASSEMBLEMENT LE JOUR DE LA FETE DU TRAVAIL
LES PARTIS POLITIQUES DE GAUCHE,LES PRESIDENTIABLES DE GAUCHE ET EN PARTICULIER MME ROYALE ,DEVRAIENT APPORTER LEURS SOUTIENS AUX LYCEENS QUI APPELLENT A MANIFESTER POUR LE RETRAIT TOTALE DE LA LOI SUR L'EGALITE DES CHANCES ET LE RETRAIT DU CNE
LE GOUVERNBEMENT DEVRAIT BIEN SAVOIR QUE CE N'EST PAS EN PROVOCANT ,EN MENACANT QUE LES CHOSES POURRONT S'ARRANGER
LES MEDIAS AU LIEU DE PROPAGER LES PROVOCATIONS GOUVERNEMENTALES ET EN PRENANT PARTIES POUR CES DERNIERES,DU MOINS CERTAINS JOURNALISTES,DEVRAIENT ETRE IMPARTIALES

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PARIS (Reuters) - Forts du retrait du CPE, une partie des étudiants veulent croire à un élargissement des revendications mais, selon le gouvernement, l'immense majorité des facultés se remet en ordre de marche.

Réunis durant le week-end à Nancy, près de 200 délégués de la coordination nationale étudiante ont appelé à de nouvelles journées d'actions le 18 avril, le 25 avril et le 1er mai.

Elle espère convaincre étudiants et lycéens de manifester le 18 avril pour exiger le retrait de la loi sur l'égalité des chances dans son intégralité et l'abrogation du CNE (contrat nouvelles embauches), considéré comme le père du CPE.

La journée du 25 avril, marquée par des actions autour des tribunaux, viserait à obtenir l'amnistie des jeunes mis en examen ou condamnés lors des manifestations étudiantes contre le contrat première embauche.

Enfin, le 1er mai serait une journée de "convergences avec les salariés", qui défileront comme chaque année à l'appel des confédérations syndicales.

Les délégués rassemblés à Nancy étaient toutefois trois fois moins nombreux que le week-end précédent à Lyon, selon le quotidien L'Est Républicain, pour qui seuls "les plus radicaux et déterminés veulent croire à une relance du mouvement".

Pour François Goulard, ministre délégué à l'Enseignement supérieur, seules quelques facultés connaissent encore une certaine agitation et les cours devraient reprendre presque partout mardi, après le week-end de Paques.

"L'immense majorité des facultés reprennent et se mettent en ordre de marche pour que les examens aient lieu", a-t-il dit lors du "Grand Rendez-vous" Europe-1-TV5Monde-Le Parisien, de dimanche.

Il a estimé que le blocage de l'université de Grenoble était en passe d'être réglé et que les cours devraient reprendre dans la semaine à Rennes II.

François Goulard a prévenu qu'en cas de persistance des blocages, les responsables des universités pourraient être amenés à "demander le concours de la force publique". "Il ne faut pas que l'année soit perdue pour les étudiants", a-t-il insisté.