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Gauche ouvrière et chrétienne
29 mars 2006

Nouvelle journée d'action intersyndicale le 4 avril

DE ROBIEN SAIT IL CE QU'IL FAIT EN DEMANDANT AUX DIRECTEURS DE LYCEES DE LES FAIRE EVACUER DES DEMAIN MEME AVEC LES FORCES DE L'ORDRE.

S'IL CROIT QUE C'EST QUE C'EST EN FESANT DE LA PROVOCATION QU'IL VA BRISER LE MOUVEMENT,A T IL ENVIE QU 'IL Y AIT DES BAVURES?

POUR DE ROBIEN LES LYCEENS SONT DES TERRORISTES.

MAIS ONT ILS MIS LA NATION EN DANGER?ONT ILS TUES ?VOLES?PRIS DES GENS EN OTAGE?

C'EST LUI DE ROBIEN AVEC DE VILLEPIN ET LES DEPUTES UMP QUI ONT PRIS,PRENNENT LES LYCEENS ET LES ETUDIANTS EN OTAGES EN VOULANT QU'ILS SOIENT DANS LA PAUVRETE,LA PRECARITE TOUTES LEUR VIE

C'EST LE GOUVERNEMNT TOUT ENTIER QUI DEVRAIT ETRE RENVOYE ET RETIRE DE L'ASSEMBLEE NATIONNALE ET POUR CELA ,LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT DEVRAIENT AVOIR LE COURAGE DE DEMISSIONNER

DONC,LA JOURNEE D'ACTION DU 4 AVRIL DEVRA ETRE UN SUCCES,UN NOUVEAU JOUR NOIR

A MOINS QUE CHIRAC PRENNE LA MESURE DU MECONTENTEMMENT NATIONNAL ET DE L'AMPLEUR DU MOUVEMENT ET DU RISQUE DE PARALYSIE DU PAYS,IL RETIRERAIT LE CPE




UNE NOUVELLE JOURNÉE D'ACTION EN PRÉPARATION POUR LE 4 AVRIL
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PARIS (Reuters) - Le front syndical et étudiant contre le contrat première embauche appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations mardi prochain et demande à Jacques Chirac d'intervenir pour que le CPE soit abandonné.

"Il est urgent que les plus hautes autorités de l'Etat prennent la mesure de la situation et répondent sans ambiguïté à cette revendication", disent les douze organisations syndicales dans une déclaration publiée après une nouvelle réunion de trois heures et demie à Paris.

"Pour éviter l'enlisement du pays dans une crise profonde, le gouvernement doit s'y résoudre. L'intersyndicale demande au président de la République d'utiliser ses prérogatives constitutionnelles pour que le CPE soit retiré", soulignent-elles au lendemain de manifestations massives contre le CPE.

L'intersyndicale appelle salariés, étudiants et lycéens à "intervenir auprès de tous les parlementaires" dès mercredi pour exprimer leur exigence de retrait du CPE.

Les organisations syndicales se "disent déterminées à amplifier la mobilisation" et "mettent le gouvernement en garde contre toute tentative de coup de force, notamment en direction des étudiants et des lycéens".

Le ministère de l'Education a demandé mercredi aux proviseurs des lycées bloqués de prendre toutes les mesures nécessaires pour rouvrir leurs établissements, y compris l'intervention des forces de l'ordre.

Malgré ces consignes, les deux principales organisations de lycéens, l'UNL et la FIDL, ont appelé les lycéens à poursuivre les assemblées générales et à organiser la grève dans les lycées.

"Ce n'est pas en envoyant des forces de l'ordre au sein du lycée qu'on réinstaurera le dialogue", a déclaré le président de la FIDL, Tristan Rouquier, exprimant sa "stupeur" et son "étonnement" devant cette décision.

Pour Karl Stoeckel, président de l'UNL, "il reste encore d'importantes réserves de mobilisation" parmi les lycéens.

Face à la contestation grandissante, la "surdité" du Premier ministre lui semble "inquiétante". "On va finir par croire que son entêtement est pathologique", a-t-il dit aux journalistes.

"L'inflexibilité affirmée du Premier ministre ne peut que renforcer la détermination des organisations syndicales à poursuivre l'action", souligne un communiqué de l'UNSA, qui appelle "ses syndicats, ses sections régionales et départementales à mettre tout en oeuvre pour assurer le succès de cette mobilisation".

De son côté, le Parti communiste "appelle à une mobilisation sans précédent (...) pour faire reculer le gouvernement".

Les douze organisations de l'intersyndicale anti-CPE étaient réunies depuis 14h00 (12h00 GMT) dans un local de la FSU, à Paris, pour décider de la suite du mouvement.

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