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Gauche ouvrière et chrétienne
26 mars 2006

CPE: La CGT refuse une "bouée de sauvetage"

VOULOIR PRENDRE LES SYNDICATS DE SALARIES COMME BOUEE DE SAUVETAGE POUR LE CPE C'EST QUE VILLEPIN N'A PAS PEUR DU RIDICULE

TOUS LES SYNDICATS VEULENT LR RETRAIT DU CPE ET NON DISCUTER DE MESURETTE
LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE ET TOUS LES ANTI CPE NE SONT PAS RIDICULES EN S'OPPOSANT AU CONTRAT DE PREMIERE PRECARITE INVENTE PAR DEVILEPIN UNIQUEMENT EN VUE DES PROCHAINESZ ELECTIONS

VOULOIR QUE NOS ENFANTS NE VIVENT PAS DANS LA PRECARITE N'EST PAS RIDICULE MAIS C'EST DU BON SENS

MAIS,C'EST CEUX QUI VEULENT MAINTENIR LE CPE COMME :UNE PARTIE DES DEPUTES UMP,LES SARKOSYSTES SONT PRET A LES LACHER

L'UNI QUI EST LE SYNDICAT ETUDIANT DU GOUVERNEMENT DONT LA PLUSPART ONT LES MOYENS FINANCIER POUR VIVRE

CE SONT DONC EUX(ETUDIANTS DE DROITE ET UMP)QUI SONT QUI N'ONT PAS PEUR DU RIDICULE ET D'ETRE RIDICULE EN VOULANT ABSOLUMENT LA PRECARITE,LA PAUVRETE POUR LES JEUNES

LA JOURNEE DU 28 DOIT ETRE UNE JOURNEE NOIRE AVEC :DES GREVES DANS LES LYCEES,LES FACS,LES COLLEGES ET AUSSI DANS TOUTES LES ENTREPRISES PUBLICS ET PRIVEES

CETTE JOURNEE DOIT ETRE UN SUCCES,LE CPE DOIT ETRE RETIRE




samedi 25 mars 2006, 18h16
CPE: La CGT refuse une "bouée de sauvetage"

BERNARD THIBAULT RESTE FERME SUR LE CPE
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PARIS (Reuters) - Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, déclare qu'il ne participera pas à une réunion avec le gouvernement qui viserait à organiser la mise en oeuvre du CPE, même avec des aménagements.

"Le Premier ministre est en difficulté, c'est évident. (...) Il voudrait que nous soyons la bouée de sauvetage de son CPE. On n'est pas là pour ça. Personne ne lui a demandé d'inventer un contrat pour les moins de 26 ans", explique-t-il dans un entretien au Journal du Dimanche.

Il s'est rendu vendredi à Matignon avec les dirigeants des quatre autres grands syndicats de salariés, sans résultats.

"Je n'ai pas senti le Premier ministre conscient de la gravité de la situation. On peut se demander s'il n'attend pas une dégradation de la situation, qui placerait le CPE au second plan de l'actualité", déclare le syndicaliste au JDD.

Il pense que les opposants au CPE n'ont "pas encore atteint le pic de la contestation" et espère que la journée de grève et de manifestation de mardi sera "un tournant".

Il pense qu'il ne sera pas possible d'atteindre la mobilisation du 18 mars (environ un million de personnes dans les rues, NDLR) mais table néanmoins sur un bon résultat.

"Les appels à la grève que nous avons enregistrés dépassent le niveau du conflit sur les retraites de 2003", assure-t-il.

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