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Gauche ouvrière et chrétienne
24 mars 2006

JACQUES CHIRAC REFUSE LE RETRAIT DU CPE

CHIRAC ,DE BRUXELLE,REFUSE LE  RETRAIT DU CPE  CE QUI FAIT QU 'IL NE POURRA Y AVOIR AUCUNE NEGOCIATION

CHIRAC ET DE VILLEPIN EN PROPOSANT UNS DOIT DISANTE RENCONTRE AVEC LES SYNDICATS DES SALARIES CE JOUR ET EN ANNONCANT JUSTE AVANT CETTE REUNION ONT VOULU:
-PIEGER LES SYNDICATS
-BRISER L'INTERSYNDICALE
-METTRE HORS JEU LES ETUDIANTS ET LES LYCEENS
-BRISER LE MOUVEMENT
CHIRAC ET DE VILLEPIN JOUE TROP AVEC LE FEU:
-UN SYNDICALISTE TOUJOURS DANS LE COMA
-UN MANIFESTANT GRIEVEMENT BLESSE

CHIRAC VEUT IL QU'IL Y AIT UN MORT POUR QU'IL RETIRE LE CPE?

SON INTERVENTION ET LE FAIT QUE VILLEPIN AIT VOULU BRISER L'INTERSYNDICALE NE FONT QU'AVIVER LES RENCOEURS QUE POURRAIENT AVPOIR LES JEUNES ET ENCORE PLUS RADICALISER LE MOUVEMENT

ENCORE UNE FOIS CHIRAC ET DE VILLEPIN SERONT RESPONSABLE DE TOUT CE QUI POURRA ARRIVER

CE QUI INTERRESSENT CHIRAC ET DE VILLEPIN SE SONT LES ELECTIONS DE 2007,LE SORT DES ETUDIANTS ET DES LYCEENS ILS "S'EN FOUTENT"




CPE: ouverture de la réunion à Matignon entre Villepin et les syndicats

PARIS (AP) - La rencontre entre Dominique de Villepin et les cinq confédérations syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC) a débuté vendredi après-midi à Matignon, a-t-on constaté sur place.

Le Premier ministre doit également recevoir le patronat (MEDEF, CGPME et UPA) à 18h et l'UNSA, membre de l'intersyndicale anti-CPE, à 19h. Les organisations étudiantes doivent être reçues lundi à 10h.

Dès leur arrivée, les leaders syndicaux s'en sont vivement pris à Jacques Chirac, qui a exclu depuis Bruxelles tout retrait du CPE. "Je crains que ça ne soit une déclaration très maladroite et qui nous mette dans une situation difficile de dialogue", a déploré le secrétaire général de la CFDT François Chérèque. "Je ne comprends plus à quoi sert le dialogue si les décisions sont prises avant".

"Je doute de l'espace de dialogue qui nous est offert puisqu'il y a moins d'une heure il y a une déclaration qui a été faite depuis Bruxelles pour réaffirmer une position qui a déjà jugée inacceptable par l'ensemble des syndicats de salariés, d'étudiants et de lycéens", a renchéri le patron de la CGT, Bernard Thibault.

"Ca ne va peut-être pas durer très longtemps vu les déclarations du président de la République à Bruxelles", a conclu le N°1 de FO Jean-Claude Mailly. "Nous sommes venus aujourd'hui non pas pour négocier, non pas pour aménager le CPE, mais pour demander au gouvernement de retirer le CPE. Qu'il n'y ait aucune ambiguïté là-dessus", a-t-il sévèrement mis en garde. AP

sch/mw

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