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Gauche ouvrière et chrétienne
23 décembre 2005

BESANCENOT:DONNEUR DE LECON?

Besancenot,la lcr, s'etonne de ne pas etre invite par le ps a un sommet de la gauche?mais il ne devrait pas etre etonne qu'a t il lui et la lcr pour la gauche?rien,sinon que de critiquer et proposer;mais il n' a jamais voulu,donc la lcr,participer à un gouvernement;il plus facile de critiquer que d'agir;la lcr,besancenot en tete devrait pourtant bien savoir que pour faire changer quelque chose ou pour que ses idees,ses propositions puissent etre mise en application,quand celà est possible,il faut participer :au gouvernement,a la gestion: :d'une ville,d'un canton,d'une region;mais celà la lcr ne connait et ne veut pas connaitre
donc quand lla lcr,besancenot restera eloigne de la realite et de toute participation à un gouvernement et quand il restera dans une position uniquement de critique qu'il ne soit pas etonne que lui et la lcr soit ecarte

Mais,il doit savoir,quand refusant toutes participations à un gouvernemment,c'est lui et la lcr qui gache ce qui a ete acqui le 29 mai

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE DEMANDE A BESANCENOT ET A LA LCR D'ETRE MOINS CRITIQUE ET PLUS EN PHASE AVEC SES IDEES,DONC D'ACCEPTER DE PRENDRE DES REPONSABILITES DANS LA GESTION DU PAYS ET ALORS A CE MOMENT LA ,IL SERA PRIS ,AINSI QUE LA LCR,PLUS AU SERIEUX ET PLUS RESPONSABLE




Besancenot au PCF: ne gâchons pas ce que nous avons fait le 29 mai

par Pascal VIROT

Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire, réagit pour Libération à la convocation d'un sommet de la gauche, en janvier.

«Pour l'heure, personne ne nous a invités. En bon postier, j'attends donc une lettre d'invitation. Mais cette rencontre se déroulerait, si j'ai bien compris, dans le cadre d'un contrat de gouvernement à élaborer : sommes-nous prêts à gouverner avec un Parti socialiste qui vient de reconduire sa majorité au congrès du Mans, c'est-à-dire une majorité sociale-libérale ? Nous, nous continuons de tendre une main fraternelle au Parti communiste, en lui demandant de ne pas gâcher ce que nous avons fait ensemble lors du référendum sur la Constitution européenne. La LCR n'a pas vocation à gouverner avec des sociaux-libéraux. Certes, s'il s'agit de voir ce que l'on peut faire ensemble contre la droite, comme, par exemple, l'abrogation de l'article qui présente la colonisation sous un jour positif, pourquoi pas ? Nous ne sommes pas contre débattre avec la gauche. Mais nous ne pratiquerons pas le grand écart. Nous n'avons pas fait partie de la gauche plurielle numéro un ; nous ne ferons pas partie de la gauche plurielle numéro 2.»

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