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Gauche ouvrière et chrétienne
14 novembre 2005

OUI A UNE EUROPE SOCIALE ET SECURITAIRE;NON A L'INTEGRISME

Sarkosy avec le gouvernement  a creer le conseil superieur musulman français,il a payé et donne encore de l'argent aux musulmans pour soit disant qau'ils ne touchent pas d'argent de l'etranger mais ils ont le droit dans recevoir de pays "amis";Sarkosy et le gouvernement veut aussi payer les constructions des mosquees;et tout cela malgres que c'est interdis par la constitution française(lois de 1905,separation de l'eglise et de l'etat);mais ,Sarkosy et le gouvernement menace de faire condamner ceux qui aideraient ou voudraient aider les eglises chretiennes
Sarkosy et le gouvernement en fesant toutes ces largesses aux musulmans,meme les plus radicaux,croyaient les encadrer ;mais,ils (Sarkosy et le gouvernement)sont tombes dans leur propre piege;maintenant les islamistes veulent plus,ils veulent que le peuple français devienne musulman et obeisse au coran
Mais ,les frnçais commencent a se reveiller, a se rebeller
Nous gauche ouvriere et chretienne demandons que le gouvernement respecte le choix des français exprime lors du referendum,refusant la constitution telle que l'on voulait nous l'imposer et refus de l'entree dans l'europe;nous voulions et voulons une europe sociale et securitaire
comme il,le gouvernement,s'apperçoit que l'union europeenne (a la solde des anglo saxons)va plus vite que prevu pour faire passer tout ce qu'elle veut,le gouvernement n'a qu'a retirer sa signature de façon qu'une europe sociale voit le jour,qu'une europe securitaire naisse
La gauche ouvriere et chretienne demande donc que tous les partis ne restent plus silencieux mais se manifestent et fassent respecter :le referendum,une europe sociale et securitaire;qu'is demandent instamment au chef de l'etat que cesse tres rapidement et pas dans 3 mois cette insurrection et cela avant qu'il n'y ait une guerre civil;il en a les moyens;que les partis politiques de gauches montent aux creneaux pour defendre une france libre et son systheme social
La gauche ouvriere et chretienne vous laisse lire l'article ci dessous et d'y mediter et ensuite agir

Première escarmouche dans la guerre civile d'Eurabia  

Selon son office du tourisme, le grand évènement à Evreux le week-end passé était supposé être la fête annuelle "de la pomme, du cidre et du fromage"*, sur la place de la Mairie*. A la place, dans cette charmante ville siège d'une cathédrale en Normandie, qui se consume, un centre commercial, un bureau de poste, deux écoles, plus de cinquante véhicules et, oh oui, le commissariat de police ont été détruits par - quel est le mot ? - des "jeunes".

Sur la place de la Mairie, M. le Maire lui-même, Jean-Louis Debré, semblait offensé par l'idée même qu'un "soupçon de carnage*" devrait être autorisé pour se distraire de goûter le fromage. "Cent personnes ont tout brisé et semé la désolation", a-t-il dit aux journalistes. "Bien, ils n'appartiennent pas à notre univers".

Peut-être que non, mais malheureusement, vous formez une partie du leur.

M. Debré, un proche copain du président Jacques Chirac était un peu en retrait sur les chiffres. Les "jeunes" ont été estimés à 200, saccageant tout à travers Evreux. Avec des battes de base-ball. Ils ont blessé, entre autres, une douzaine de pompiers. "A ceux responsables de le violence, je tiens à dire : Soyez sérieux !" a déclaré M. Debré sur la radio France info. "Si vous voulez vivre dans une société plus juste, plus fraternelle, ce n'est pas la manière d'y parvenir".
Oh mon cher. Qui n'est pas "sérieux" ici ? En Normandie, ce n'est pas seulement le fromage qui est moelleux et coulant. Sûr que l'économie sclérosée française trop régulée obstrue profondément la mobilité sociale des immigrants, même de M. Debris, Ooups, désolé - même M. Debré ne peut être tellement hors de portée pour penser " sérieusement " que les émeutiers font des émeutes pour une société plus juste et plus fraternelle ". Mais peut-être le croit-il. La classe politique et les médias semblent se renforcer mutuellement dans leurs illusions obsolètes. Ou bien comme le formule le titre du 'Washington Post' : "La rage de la jeunesse française est un combat pour la reconnaissance".

Vraiment, ils étaient très faciles à "reconnaître" : regardez seulement par la fenêtre, ce sont ceux qui incendiaient votre Renault 5. Je parierais que le "jeune" "Français" trouve ce titre aussi risible que les "Jets" dans " West Side Story il y a un demi siècle, quand ils se moquaient de l'officier de police Krupke avec les "tentatives" de la "société" de les "comprendre" : nous sommes dépravés parce que nous sommes privés. Peut-être qu'un impresario entreprenant à Paris pourrait monter une production de West Aïd (sic) Story avec des gangs chorégraphiés de Musulmans d'Afrique du Nord marchant d'un air dégagé sur la Place de la République, en mettant le feu sur leur passage.

En fait, "la rage" semble le moindre élément : c'est la "jubilation" et le "mépris" qui vous frappent. Et "la rage" dans le sens d'une colère spontanée est une caractérisation très bâclée de ce qui, après deux semaines, a l'aspect d'une campagne plutôt disciplinée et astucieuse. Cette activité de mise à feu de voitures par exemple. En Irak, les " insurgés " ont vite saisi l'intérêt de mettre le feu à quelque Nissan de deuxième main au moment choisi pour que le panache de la fumée puisse être commodément filmé du balcon de l'hôtel de la presse à l'heure de " NBC Today & Good Morning ", America. Pendant un moment, chaque fois que vous allumiez la télé en Amérique, il y avait quelque catastrophe obscure posant au loin dans une scène "live" de Honda Civic embrasée - aussi rassurante dans sa familiarité que cette station locale en tel ou tel lieu en Amérique du nord ('Thunder Bay', la baie du tonnerre je crois) qui montrait un lieu enflammé rugissant comme une carte test chaque nuit. Ce que l'expert australien Tim Blair appelle le barbecue nocturne de voitures de Paris fait grand effet à la télévision, mais sans être suffisamment meurtrier pour obliger l'Etat à faire tomber l'insurrection avec force.

En effet, c'est une tactique presque parfaite si votre objectif est d'avoir tout l'Establishment français tergiversant sur la façon d'aborder les griefs jusqu'à ce que vous ayez retiré autant d'avantages politiques que vous pouvez. Observez cette manière de faire : après deux semaines, quels sont ceux dont le prestige a le plus augmenté ? Les émeutiers. Ou bien le maire Debré, le président Chirac et le Premier Ministre de Villepin ? Sur tous les fronts ces deux dernières semaines, l'Etat français a été testé et a communiqué seulement avec faiblesse.

A l'égard des "jeunes" "Français", un lecteur d'Antibes m'a mis en garde de ne pas décrire les mécontents comme des " islamistes ". " Regardez les images des jeunes ", conseille-t-il. " Ils ressemblent aux gangsters de Los Angeles, pas à "des singes du prophète enturbannés ".

En oubliant qu'on me dit qu'il y en a plus d'un qui crie "Allahu Akbar !" dans les rues, mon correspondant a raison. Mais là est la question. Le premier pays à embrasser formellement le " multiculturalisme " - au point de lui confier un cabinet ministériel - était le Canada, où il a été vendu comme une espèce de pollinisation culturelle croisée bénigne : le meilleur de tous les mondes. Mais tout aussi souvent, il nous donne le pire de tous les mondes. Il y a plus de trois ans, j'ai écrit au sujet des "tournantes*", ou "prends ton tour" - le viol en gang devenu un rite de passage d'adolescent dans les quartiers musulmans des villes françaises - et des phénomènes similaires à travers l'Occident . "Le multiculturalisme signifie que les pires attributs de la culture musulmane - la soumission des femmes - s'associent avec les pires attributs de la culture occidentale - la licence et l'autosatisfaction. Des gangs de skinheads pakistanais tatoués, à l'oreille percée se pavanant dans les rues du nord de l'Angleterre sont autant un produit du multiculturalisme que les membres de l'escorte à cheval du vice-roi portant le turban sikh." L'islamo-fascisme lui-même est ce qu'il dit : une fusion de l'identité islamique et du totalitarisme européen de la vieille école. Mais, que ce soit en turbans, ou en fringues de gangs, exactement comme le communisme l'était en son temps, de même l'islam est l'idéologie de choix aujourd'hui pour les mécontents dans le monde.

Certains d'entre nous croient que c'est une première escarmouche dans la guerre civile d'Eurabia. Si les insurgés en sortent enhardis, quelle sera la prochaine étape ? Dans les cinq prochaines années, il y en aura encore davantage de leur part, et encore moins de détermination de la part de l'Etat français. Cela, alors, accélèrera probablement le déclin démographique. L'Europe pourrait être confrontée à une version étendue au continent du phénomène de la " fuite blanche " observé dans les villes américaines infestées dans les années 1970, comme les Danois et les Hollandais filent en Amérique, en Australie, ou partout où ils le peuvent.

Quant à savoir où se situe l'Angleterre dans ce sinistre scénario, j'ai noté il y a quelques mois que les lecteurs avaient commencé à clore les plus sombres lettres qu'ils m'adressaient par ces mots : "Heureusement, je ne vivrai pas pour voir cela" - une conclusion devenue si habituelle dans mon courrier que j'en tirais l'hypothèse que c'était la version britannique de " Passez une bonne journée ". Mais c'est une fausse consolation. Comme la France nous le rappelle ces quinze derniers jours, les changements en Europe surviennent beaucoup plus vite que la plupart des gens ne l'ont cru. C'est le problème : à moins que vous n'ayez prévu de crever de façon imminente, vous vivrez pour le voir.

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