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Gauche ouvrière et chrétienne
16 octobre 2008

Les marchés en panique

les milliards donnés par tous les États ,dont la France ,pour sauver les banques n'ont servi à rien ,les spéculateurs s'en donnent encore "à coeur joie".

c'est vraiment la récession qui prends tous les pays  et tant que cette folie ultralibérale ne sera pas arrêtée ,tant que les gouvernements ne feront rien pour celà ,la panique financière continuera de plus belle.

et ce seront les petits ,les salariés ,les classes moyennes,les jeunes  qui en subiront les conséquences et sans parler des générations futurs qui devront payer les égarements ,les ultralibertés de nos gouvernants

Le Président de la G.O.C.

Les marchés en panique

Wall Street au point d'équilibre, les Bourses européennes dans le rouge. Jeudi 16 octobre, la Bourse de New York a ouvert en hausse de 0,13% après avoir perdu 7,87% la veille (sa pire chute depuis octobre 1987), tandis que les marchés européens essuyaient, à la même heure, des pertes importantes. Vers 17h15 (15h15 GMT), le Dow Jones perdait 3,56%.
Le CAC 40 a clôturé en baisse de 5,92%, Francfort 4,91% et Londres plus de 5,35%.
Les valeurs financières étaient une fois de plus déprimées: Axa perdait 9,27%, BNP Paribas 7,08%, Crédit Agricole 6,59%, Dexia 7,29%, Société Générale 8,59%.

"C'est clairement la panique"

Un peu plus tôt, la Bourse de Tokyo avait subi la deuxième pire chute de son histoire, dévissant de 11,41% en clôture. La plus forte baisse en pourcentage du Nikkei en une séance depuis la création de cet indice en 1950 remontait elle aussi au 20 octobre 1987. Shanghai a fini la séance en retrait de 4,25%, Hong Kong de 4,8%, Taiwan de 3,25% et Séoul de 9,4%.
"C'est clairement la panique et celle-ci va durer. Les marchés d'actions ont fondamentalement changé", a réagi Clifford Bennett, économiste en chef chez Sonray Capital Markets à Melbourne, en exhortant ses clients à s'abstenir de s'exposer en Bourse. "Vous n'avez pas besoin de monter dans un train qui peut s'écraser brutalement n'importe quand".

Challenges;fr le 18/10/08

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