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Gauche ouvrière et chrétienne
18 mai 2006

Fabius veut être candidat à l'Elysée pour redresser la France

LA GAUCHE OUVRIERE ET CHRETIENNE AVAIT DEJA DIS ,IL Y A UN MOMENT,QUE LE SEUL CANDIDAT OU CANDIDATE DE GAUCHE POUR LA PRESIDENTIELLE DE 2007 DEVAIT ETRE UNE PERSONNE QUI AVAIT EU LE COURAGE DE FAIRE VOTER ET DE VOTER NON CONTRE LA CONSTITUTION EUROPEENNE ET QUI ETAIT TOUJOURS DANS CET ESPRIT LA.

ET QUE CELUI ,OU CELLE,QUI DEVAIT REPRESENTER LA GAUCHE DEVAIT AVOIR UN PROGRAMME DE GAUCHE.
NOUS AVIONS DIS AUSSI,ET CONFIRME RECEMMENT,QUE NOUS LE CANDIDAT QUE NOUS SOUTIENDRIONS ETAIT LAURENT FABIUS.

UN CANDIDAT ,OU CANDIDATE,AYANT VOTE OUI POUR LA CONSTITUTION  ET QUI SE DIS CLAIREMENT BLAIRISTE NE POUVAIT PAS REPRESENTER LE PEUPLE DE GAUCHE ET AUTRES QUI AVAIENT VOTE NON CONTRE LA CONSTITUTION ET LE DANGER QUE REPRESENTE LE LIBERALISME BLAIRISTE.

LAURENT FABIUS EST CAPABLE DE REDRESSER LA FRANCE ET DE RASSEMBLER LE PEUPLE DE GAUCHE ET AU DELA;IL A,DEPUIS AU MOINS LES DISCUTIONS SUR LEREFERENDUM,DIS CLAIREMENT QU'IL ETAIT DE GAUCHE ET PRONAIT UN PROGRAMME DE GAUCHE.

AU CONTRAIRE DE ROYALE,FABIUS EST CONTRE LE LIBERALISME QUI DONNE LA PRECARITE ET LA PAUVRETE,IL EST AUSSI CONTRE SARKOSY QUI VA PIOCHER A L'EXTREME DROITE.

LAURENT FABIUS A TOUT A FAIT RAISON QUAND IL DIT QU'UNE LIGNE A GAUCHE CLAIREMENT A GAUCHE EST LA SEULE A FAVORISER LE RASSEMBLEMENT A GAUCHE.



Fabius veut être candidat à l'Elysée pour redresser la France

LAURENT FABIUS PRÉSENTE SES ÉQUIPIERS
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PARIS (Reuters) - Candidat à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle, Laurent Fabius entend proposer aux Français une politique qui ne soit "ni du sarkozysme, ni une copie du blairisme", catégorie dans laquelle il range Ségolène Royal.

Un an avant le scrutin et à six mois du vote du PS, l'ancien Premier ministre a présenté mercredi à Paris son équipe de campagne s'il est investi par les militants.

Huit "équipiers", version 2007 des porte-parole, seront placés sous la direction de son plus fidèle lieutenant, Claude Bartolone.

Même s'ils assurent que ce rendez-vous était prévu de longue date, les fabiusiens ont choisi de relancer la campagne présidentielle de leur champion en pleine affaire Clearstream, symbole à leurs yeux de la crise morale et politique qui frappe le pays, et au moment où la présidente de Poitou-Charentes semble solidement accrochée en haut des sondages.

L'heure n'est donc plus à finasser.

"Je suis candidat pour être président de la République parce qu'il faut redresser et relancer la France et que je pense en avoir les compétences", explique Laurent Fabius. "Je sais ce qu'est la gestion d'un grand pays."

Nicolas Sarkozy, qui sera "vraisemblablement contre nous" en 2007, poursuit-il, est un "homme politique dangereux". "J'entends l'affronter le moment venu pour le battre", souligne l'ancien Premier ministre de François Mitterrand.

"Je pense que les Français, quand ils auront le choix, ne voudront ni du sarkozysme ni d'une copie du blairisme", ajoute le député de Seine-Maritime, qui a visiblement choisi la même ligne d'attaque que Dominique Strauss-Kahn.

Samedi, devant un demi-millier de ses partisans, l'ancien ministre de l'Economie avait dressé un portrait en creux du meilleur candidat face au "redoutable" Sarkozy, candidat dans lequel il se reconnaissait trait pour trait.

"LIGNE CLAIRE"

En 2007, la gauche se trouvera face à une "responsabilité historique", estime Laurent Fabius, pour qui une victoire du candidat socialiste en France aura "un effet d'entraînement" dans les autres pays européens.

"Il faut y aller sur une ligne claire, sinon c'est la France qui va dégringoler", prévient-il. "On ne peut pas rassembler la gauche et proposer une politique de type blairiste (...) Une ligne clairement à gauche est la seule de nature à favoriser le rassemblement de la gauche et à créer une dynamique".

Il s'est de nouveau prononcé pour l'organisation de débats entre candidats à l'investiture PS à l'automne. "On ne peut pas imaginer un seul instant que ce choix de politique majeure se fasse sans débat", insiste-t-il, au diapason de ses "compétiteurs", Jack Lang et Strauss-Kahn.

Pour lui, "c'est une démarche qui honorera le Parti socialiste" et qui aura l'avantage de contraindre Ségolène Royal à venir sur le terrain des idées.

Dans les semaines à venir, Laurent Fabius soumettra d'ailleurs "par écrit" des propositions au premier secrétaire du PS, François Hollande, pour alimenter le projet présidentiel en cours de rédaction. Le texte doit être adopté début juillet.

Un an après le référendum sur la Constitution européenne, l'ancien partisan du "non" promet également de "décrire les chemins d'une relance européenne".

Côté institutionnel, si une nouvelle Constitution devait être rédigée par les Vingt-Cinq, elle devrait, "par parallélisme des formes démocratiques", être à nouveau soumise à référendum, contrairement à ce que pense Nicolas Sarkozy qui s'est prononcé pour une ratification par la voie parlementaire.

L'entrée en campagne de Laurent Fabius passe par de nombreux déplacements en province mais également en Europe - il sera le 12 juin en Allemagne et le 23 en Italie - et en Afrique (Sénégal, Mali) du 26 au 29 juin.

Dévoués mais inquiets, ses "équipiers" espèrent toutefois amener ce fou d'athlétisme à "vider" trois dates: celles des matches de sélection de l'équipe de France pour la phase finale de la Coupe du monde de football...

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